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Après 25 ans d'absence, la patinoire revient à Concarneau. L'équipement de 150 m² sera installé, du 13 au 28 février, quai d'Aiguillon face à la Ville Close. De nombreuses animations seront programmées. La patinoire à Concarneau, c'est une vieille histoire. Les locaux sont nombreux à se souvenir de belles glissades au Cac. C'était à l'hiver 1990. À l'époque, des tournois de hockey sur glace sont organisés. Les animations, mises en place par les bars, sont plutôt loufoques. Des photos en témoignent. Les participants utilisent des balais, et non des crosses, pour taper dans un ballon. Visiblement, on s'amusait bien. Depuis ? Ben, depuis plus rien. Mais après 25 ans d'absence, la patinoire revient dans la Ville Bleue. Elle sera installée du 13 au 28 février (pendant les vacances scolaires) quai d'Aiguillon face à la Ville Close. Il s'agit d'un équipement couvert d'une surface de 150 m². En fait, c'est une patinoire synthétique au fonctionnement écologique en raison de l'absence du générateur d'eau réfrigérée. La structure est composée d'un assemblage de dalles en plastique. Concernant les sensations de glisse, « on ne voit pas la différence, souligne François Besombes, adjoint au maire, et c'est moins douloureux lorsque l'on chute ».

Un partenariat inédit
L'initiative est le fruit d'une collaboration tripartite entre la ville, l'Intermarché de Lanriec et le comité des fêtes de Lanriec. Yannick Le Cam, directeur de l'enseigne, est le premier à avoir lancé les festivités. « Je considère que je suis un acteur local et que je dois, de fait, m'immiscer dans l'animation locale ». L'effort n'est pas anodin. Ce dernier prend à sa charge la location de l'équipement pour un montant d'environ 25.000 €. La ville sera chargée de la communication et engagera trois agents sur place. Côté animations, près de 30 bénévoles du comité de fêtes de Lanriec installeront des stands. Ils proposeront des friandises, crêpes et boissons chaudes.

Des nocturnes les samedis
La patinoire sera ouverte, aux bambins mais aussi aux plus anciens, tous les jours à partir de 14 h 30. Des nocturnes, avec des challenges sportifs, seront organisées les samedis. La piste pourra accueillir 50 patineurs simultanément pour garantir un meilleur confort. Le tarif est symbolique, il sera fixé à un euro pour une heure de glisse (équipement compris). Des gants et le port d'un casque seront exigés. L'ensemble des fonds collectés sera reversé à des associations caritatives tournées vers l'enfance. Les organisateurs peuvent espérer attirer au-delà des frontières concarnoises, l'ensemble de l'agglomération mais aussi les Quimpérois. Ils peaufinent encore les derniers détails. Ils recherchent notamment des jeunes motivés pour se charger de l'animation musicale. « Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues », expliquent-ils. Si le succès est au rendez-vous, l'équipe envisage d'inscrire cette animation dans la durée.

Le nouveau quart de palette Chep, plus stable et plus léger, accueille plus facilement les présentoirs de publicité sur le lieu de vente (PLV).

Fin novembre, l’Oscar de l’Emballage a d'ailleurs récompensé Chep dans la catégorie distribution/logistique pour ce quart de palette "nouvelle génération".

"C’est un support idéal pour la valorisation des produits en surface de vente car il permet une plus grande créativité des présentoirs PLV", affirme la marque.

Léger (1,9 kg) et résistant, il offre une stabilité améliorée de 12% par rapport à l’ancien modèle. Empilable, il permet de gagner 44% de surface de stockage et d'améliorer de 30% le taux de chargement à vide des camions.

Les encoches brevetées Blue-click, enfin, épargnent l’utilisation de clou, agrafe ou colle pour gagner du temps lors du montage des présentoirs.

Pour accélérer son développement, LDLC a décidé d'acquérir son concurrent Materiel.net pour un montant non communiqué.

Pas de prévenu, pas d’avocat. C’était le 20 octobre, à l’audience du tribunal correctionnel. Un ancien chef de service à la mairie de Béthune était invité à s’expliquer sur un détournement de matériel informatique et hi-fi, commandé à son profit personnel, mais payé par la ville.
Des anomalies mises au jour après la rédaction d’un rapport d’audit concernant le service informatique de la ville, le 14 octobre 2009, qui incite le maire de l’époque, Stéphane Saint-André, à faire un signalement au procureur de la République. La société chargée de l’audit découvre entre autres des surfacturations, des contrats de maintenance injustifiés, des factures sans le numéro de série des matériels acquis, entre autres.

Des factures exhorbitantes
Une plainte contre X est adressée au procureur de la République en février 2011. Entre le signalement de 2009 et le dépôt de plainte, d’autres investigations avaient permis de constater que des contrats aux prix exorbitants avaient été acceptés. Notamment pour la location d’imprimantes, pour un coût sept fois supérieur au remplacement du matériel, ou pour la location et la maintenance de six fax pendant treize trimestres, facturés 41 233 €. Des choix coûteux et estimés inadaptés aux besoins du service, qui dispose d’un parc sans rapport avec le budget alloué.

Les investigations permettent aussi de suspecter un détournement d’équipements informatiques et de matériel hi-fi, entre 2006 et 2009 : des consommables ne seraient jamais arrivés en mairie, du matériel serait arrivé sans facture. L’étau se resserre alors autour d’un chef de service… qui revend du matériel informatique à faible prix, à différentes personnes, dont un ancien adjoint au maire. Il fait aussi des cadeaux à des proches.

Faux documents et des livraisons ailleurs qu’en mairie
Deux sociétés chargées de fournir la mairie de Béthune confirment la mise en place d’un système de facturation différée, chargé de couvrir des dépenses antérieures. Du matériel avait été livré sans factures, et les montants avaient été répartis sur d’autres facturations. Deux fausses factures, par exemple, de 28 870 € et 49 850 €, sont établies pour des équipements (dont des serveurs) autres que ceux réellement fournis. Certaines livraisons étaient faites ailleurs qu’en mairie. Le commercial d’une des sociétés aurait accepté la combine, devant les menaces de pertes d’appels d’offres.

Le tribunal a reconnu coupable de détournements l’ancien chef de service, et l’a condamné à un an de prison avec sursis, et à une amende de 8 000 €. Il est par ailleurs condamné à une interdiction d’exercer l’activité professionnelle ayant permis la commission des faits. Il devra également verser à la ville de Béthune, partie civile, la somme de 92 820,81 €, correspondant au préjudice matériel.

Les ventes mondiales de PC devraient encore reculer en 2016, pour la cinquième année consécutive, selon des prévisions lundi du cabinet de recherche IDC.

IDC table sur une baisse des ventes d'encore 3,1 % l'an prochain, après une chute anticipée de 10,3 % sur l'ensemble de 2015, qui s'annonce donc comme une année encore plus noire que 2013, où le recul des ventes avait atteint 9,8 %.

Les reculs avaient été plus modérés en 2012 et 2014 (respectivement -4 % environ et -2,1 %).

Le marché mondial du PC traverse une crise profonde, cannibalisé par la popularité d'appareils mobiles pouvant se connecter à l'internet comme les tablettes et les téléphones intelligents.

IDC explique que les perspectives pour 2016 sont aussi assombries par des vents contraires à court terme comme le dollar fort ou le niveau actuel des stocks.

Il espère toutefois une stabilisation du marché d'ici la fin 2016, et à terme un retour de la croissance des ventes grâce au remplacement du parc vieillissant d'ordinateurs en utilisation et au passage à Windows 10, la dernière version du système d'exploitation de Microsoft sortie cet été.

«Les remplacements de machines dans les entreprises et chez les consommateurs stabiliseront en fin de compte le marché et entraîneront même de la croissance», assure le cabinet dans son communiqué.

«Une fois que l'adoption de Windows 10 en entreprises accélèrera, et en combinaison avec les mises à jour des PC vieillissants des consommateurs, nous nous attendons à ce que la demande pour de nouveaux PC augmente pour plusieurs années», détaille-t-il.

L'arrêt attendu à terme du soutien technique de Microsoft pour Windows 7, une version plus ancienne du système d'exploitation, devrait aussi encourager les renouvellements d'ordinateurs, tout comme le ralentissement de la croissance des ventes de tablettes et téléphones intelligents.

«Malgré le basculement important des dépenses et des utilisations vers les tablettes et les téléphones au détriment du PC ces dernières années, très peu de gens ont abandonné leur PC - ils le font juste durer plus longtemps», souligne Loren Loverde, analyste chez IDC.

 

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Dire que Xenoblade Chronicles X était attendu est un euphémisme, et encore le mot est faible. On ne va pas se mentir, l'année 2015 a été d'une tristesse presque infinie pour les fans de Nintendo, surtout pour les fans de The Legend of Zelda et Star Fox. En Europe, Xenoblade Chronicles X a même la lourde tâche de sauver le Noël de Nintendo, même si le jeu n'a pas vraiment le même potentiel de vente que Mario Tennis: Ultra Smash et Animal Crossing: amiibo Festival, aussi mauvais ces deux jeux puissent-ils être. Et encore plus fort, il a la lourde tâche de succéder à Xenoblade Chronicles, jeu plus qu'aimé auprès des fans de jeux de rôle japonais. Le Xeno nouveau est arrivé, et hélas force est de constater que le jeu, dans le fond, n'a pas grand chose à proposer.

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Xenoblade Chronicles X part d'un synopsis tout simple, que je vais résumer brièvement. En 2056, des forces extra-terrestres surgirent au-dessus de la planète bleue, et l'humanité n'eut d'autre choix que de fuir leur planète natale. Seul un vaisseau, la Grande Blanche, réussit à s'enfuir avec "quelques" survivants à son bord. Deux ans plus tard, rattrapés par les vilains aliens, un atterrissage forcé eut lieu sur une planète inconnue, qui sera le théâtre de tout les évènements du jeu: Mira. Quelques mois plus tard, un personnage, vous (votre avatar) sera retrouvé, amnésique, dans une capsule de stase par Elma, protagoniste doté de prothèses mammaires, car il en faut toujours un dans un bon J-RPG. Maintenant bien réveillé et équipé, l'heure est venue d'explorer Mira et de remplir moult missions pour mieux assurer la survie de l'humanité, actuellement confinée à New Los Angeles. Un constat de base simple, qui sera hélas le point de départ de presque tout les problèmes du jeu. Mais avant d'évoquer les problèmes, commençons tout de même par citer les points forts.

Avec un tel point de départ, comprenez bien que vous serez plongé directement au centre de l'action, avec des monstres qui traînent déjà en nombre. L'occasion de vous familier directement avec les arts, même si vous n'en avez pas vraiment beaucoup au départ, faible niveau 1 que vous êtes oblige. Petite présentation pour ceux qui n'auraient touché à aucun Xenoblade. Les arts sont tout simplement les attaques vous pouvez lancés. Toutefois, après utilisation, les arts ont besoin de se recharger avant d'être opérationnels à nouveau, le temps de récupération dépendant de l'art en question mais aussi de son niveau, que vous pourrez augmenter contre des points de combat. Doté de dix niveaux dans XC, ils n'en ont ici que cinq, mais ne coutent que des points de combat (alors que dans XC, c'était un poil plus chiant). Monté le niveau d'un art, outre réduire son temps de récupération, c'est aussi améliorer sa force et lui apporter, pour certains, moult effets supplémentaires, en plus des effets que les arts ont de base. En effet, plus que spammer les arts comme un débile, certains ont comme effets de déséquilibrer les ennemis mais aussi les faire chuter, histoire de les empêcher d'attaquer voir de booster les dégâts infligés avec certains arts. Et à cela s'ajoutent les auto-attaques, pour infliger des dégâts même si tout vos arts ont été consommés, même si là encore c'est soumis à des temps de récupération, toutefois bien plus légers.

Mais à force de combats, vous atteindrez le rang maximum de votre classe. L'occasion de changer de classe, et donc possiblement de changer les armes équipables et donc les arts qui vont avec, sachant que vous pouvez changer de classe à volonté (à condition de les avoir débloquer, bien entendu). Et évidemment, vous pouvez également modifier la classe et les arts équipés des autres personnages jouables (présents en nombre). Mais ensuite, grâce aux classes que vous avez expérimentés, vous pourrez attribuer des compétences à vos personnages, dont les effets sont loins d'être à négliger, qui vont du boost de puissance à l'augmentation de points de vie max. Malgré tout ça, vous ne trouvez pas vos coups à la hauteur ? N'oubliez de laisser charger vos arts, petite nouveauté de ce Xenoblade. En effet, autour de l'icône des arts, un cercle vert se forme petit à petit et une fois plein, sa puissance et/ou ses effets sont largement améliorés. Pas assez complet à votre goût ? Rajoutons donc les points de tension, d'une base de 3000. 3000 points de tension, c'est justement le "prix" à payer pour ranimer un allié potentiellement achevé par une blatte du coin. 3000 points de tension, c'est également le "prix" à payer pour activer le métamode après le chapitre 5. En métamode, vous êtes plus puissants, vos arts se rechargent plus vite et plus encore, ils peuvent disposer d'une deuxième recharge (représenté par un cercle blanc qui se superpose au cercle vert) histoire de les booster encore un peu plus vite. Mais voilà, difficile de ranimer un allié avec des points de tension retombés à zéro, sachant qu'en plus certains arts en coutent 1000. Mais rassurez-vous, certains équipements permettent d'allonger un peu le stock de points de tension. Bref, difficile de reprocher quoique ce soit au système de combat si ce n'est l'absence des enchaînements de XC qui permettaient de belles combinaisons dévastatrices.

L'indice de fret canadien de TransCore Link Logistics a reculé en novembre, suivant sa chute traditionnelle à cette période de l'année, avec une baisse de 8 % des volumes par rapport à octobre. Bien que les volumes aient également baissé de 28 % en glissement annuel, ils se comparent aux sommets historiques établis tout au long de 2014.

Les chargements transfrontaliers au départ du Canada ont baissé de 12 % et les chargements à l'importation au Canada ont baissé de 39 % en glissement annuel. Ces volumes ont compté en moyenne pour 69 % du total des données présentées par les clients établis au Canada de Loadlink. Les volumes de chargements intra-Canada représentaient 27 % des volumes totaux et ont baissé de 22 % en glissement annuel.

La capacité en équipement a légèrement baissé en novembre, une baisse de 3 % de la capacité en glissement mensuel, mais était en hausse de 38 % sur une base annuelle. Le ratio équipement/chargement a augmenté pour atteindre 3,84 par rapport à 3,67 en octobre. Ceci représente une augmentation de 91 % en glissement annuel, comparé à novembre 2014 où le ratio était de 2,01.

L’indice de fret canadien de TransCore mesure avec précision les tendances d’environ 5 500 entreprises de camionnage et courtiers de fret au Canada, et comprend toutes les données nationales, transfrontalières et interétatiques présentées par les clients de Loadlink.

Il est possible d’accéder aux données historiques et en temps réel sur le total des volumes de camions et de chargement ainsi qu’aux ratios dans des domaines précis à partir du Posting Index de TransCore.

À propos de TransCore Link Logistics

Recherchant un meilleur moyen de jumeler les charges de fret disponibles avec les camions, TransCore Link Logistics a créé en 1990 Loadlink, un plateau de cargaisons reliant courtiers, transporteurs, propriétaires-exploitants et flottes privées du Canada à une base de données en temps réel de 15 millions de cargaisons, d’expéditions et de camions, soit la plus importante du secteur. L’indice de fret canadien définit désormais le mouvement du fret sur le marché. La société fournit également à ses clients des solutions de répartition, les manifestes d’ACE/ACI , l’indice d’affichage, des solutions de crédit, de l’affacturage, des plateaux d’emplois de transport en ligne, un logiciel de kilométrage et plus encore.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Lorsque l'on entend le terme VUS, on pense à une grosse forteresse sur roues, un camion surélevé trônant au-dessus de la circulation et enrobant ses occupants dans une bulle de sécurité. C'est une image que les précurseurs du segment — comme le Chevrolet Suburban, le Land Rover Series 2 et le Jeep Cherokee — ont utilisée à bon escient, se taillant une place sur le marché et dans l'esprit des clients.

Cependant, les réalités de la vie ont fait en sorte que même si les gens veulent la sécurité, l'espace intérieur et les capacités hors route de ces gros véhicules, les prix de l'essence ainsi que les difficultés à manœuvrer un 4x4 de 5,6 mètres dans la circulation ont amené les clients à demander un compromis : un véhicule avec la hauteur et la capacité de chargement d'un camion, mais plus petit et plus frugal.

C'est ainsi que sont nés les VUS compacts : moins encombrants, mais offrant la même impression de sécurité que leurs ancêtres. Les nouveaux venus — le Honda CR-V, le Toyota RAV4 et le Ford Escape, entre autres — ont connu un succès bœuf : désormais, les familles pouvaient voir au-dessus des voitures qui les entourent, protégées dans leur cocon de fer.

Aujourd'hui, une nouvelle catégorie de véhicules voit le jour : encore plus petits, les VUS sous-compacts sont basés sur des citadines et n'ont plus rien à voir avec les 4x4 pleine grandeur d'antan... Mais ils misent encore sur la réputation d'habitabilité et de sécurité de ces derniers.

Taille imaginaire vs taille réelle
Pour illustrer ce point, voici un comparo un peu spécial, admettons-le : d'un côté, nous avons le Mazda CX-3, l’un des VUS sous-compacts les plus populaires de son segment. Maintes fois primé, ce petit camion promet non seulement la sécurité d'un véhicule utilitaire sport, mais aussi son espace de chargement.

De l'autre côté, on retrouve la Hyundai Elantra GT, une compacte honnête avec un large hayon arrière. Même si elle n'a pas la désirabilité du VUS Mazda, je suis persuadé que cette petite voiture est non seulement plus logeable, mais qu'elle n'est pas nécessairement « moins sécuritaire »...

Premièrement, parlons dimensions : si le CX-3 a l'air plus massif, les apparences sont trompeuses. L'Elantra GT est plus longue (de 26 mm) et a un empattement plus allongé (2 650 mm contre 2 570 mm). Le CX-3 est évidemment plus haut, mais moins qu'on pourrait le croire : entre les deux véhicules, il n'y a que 77 mm de différence. La garde au sol est plus haute sur notre petit VUS, mais seulement de 1,5 centimètre. Là où il y a une différence marquée, c'est au niveau de l'assise : le conducteur est assis 10 centimètres plus haut dans le Mazda que dans la Hyundai!

Du côté de l'espace de chargement, il n'y a pas de gagnant : même s'il y a plus d'espace dans l'Elantra GT en situation normale (651 litres contre 452), le VUS Mazda est plus logeable lorsque tous les sièges sont baissés – le CX-3 peut transporter l'équivalent de 1 528 litres contre les 1 444 litres de la GT. S'il y a une conclusion à tirer de ses données, c'est que si vous avez beaucoup de matériel à transporter, le Mazda sera techniquement plus pratique... mais si vous avez des passagers, il faudra les mettre ailleurs!

Match nul : dépendamment de votre situation, vous préférez peut-être la hauteur du CX-3 ou l’espace de l’Elantra GT.

Voiture basse ou voiture haute?
Même si le CX-3 est classé comme un VUS, il n'est pas très haut; par conséquent, on ne trône pas exactement au-dessus de la circulation – puisqu’ironiquement, la majorité des autres véhicules sur la route sont aussi des VUS! De plus, sa conduite est beaucoup plus près de celle de la Mazda2 (qu’on connaît ici comme la Toyota Yaris berline) avec laquelle il partage sa plate-forme. L'un des avantages d'avoir une garde au sol un peu plus haute ainsi qu'une position de conduite surélevée, c'est que l’on n'a pas à se laisser tomber dans le véhicule : le siège est juste à la bonne hauteur. Une fois à l'intérieur cependant, on ne remarque pas vraiment qu'on est dans un VUS.

 

Dell Studio 1535 Battery

I hope that other laptop makers follow Dell’s lead here. Apple has made a good start with its new 12-inch MacBook, and I think it’s time the industry stops obsessing over touchscreens and focuses on some raw laptop innovation. My MacBook Air is gathering dust thanks to the XPS 13, and I have no plans to switch back.

The MacBook Pro 2016 continues to be noticeably absent from Apple's current collection of announced products, and apparently, such will be the case for a little while longer.The rumor mill has been all over the map when it comes to projecting a possible release date for the MacBook Pro 2016, with some having pegged it to launch earlier this year and some having indicated that it may be released this month.

The far more powerful Xeon E3-1500M V5 quad-core processor will not only have ECC memory and be certified for the stable running of certain professional applications but will have an unlocked multiplier for overclocking. Intel claims that the 45W TDP chip can be successfully overclocked to 4.2GHz with air cooling alone.

Other new sixth generation Core processors will fall into a number of different families. U-series processors will be dual-core 15W TDP chips designed for ultra-portable laptops, all in one PCs and mini PCs. The Xeon E3-1500M is part of the H-series.

Desktops haven’t been forgotten, of course, with the previously leaked Core i7-6700K and Core i5-6600K part of the new S-series processors which will range up to 91W TDP and will fit new motherboards with an LGA1151 socket.

Even with a lot of days still remaining in December, it would seem that Apple is not rushing to make any new announcements, and that could translate to the laptop not being ready to be released until well into next year.According to Yibada, the most likely release date now for the laptop is sometime in June 2016, possibly right around Apple's Worldwide Developers Conference (WWDC) event. This date is unconfirmed as of now, although it would seem to make a lot of sense for Apple to hold off on releasing the new laptop until they have a big enough platform to launch it properly.

Another interesting rumor surrounding the MacBook Pro 2016 suggests that no matter what eventual release date is attached to the laptop, it will still be launched alongside the MacBook Air 2016. It's unclear why Apple is reportedly set on launching the two laptops together.

As for the specs and features of the MacBook Pro 2016, one of the most persistent rumors suggests that the new laptop will have a 4K display upon being launched, according to MacWorld UK.The MacBook Pro 2016 is also rumored to feature Force Touch technology along with the OS X El Capitan right out of the box. The upcoming laptop is also expected to have longer battery life.

More news about the MacBook Pro 2016 and its other specs and features are expected to be revealed within the next few months.Skylake, Broadwell, Haswell, Ivy Bridge. Dual Core, Quad Core, Turbo Boost. Mobile, i5, i7. There are so many different terms used to describe the processor in the current crop of Macs that trying to figure out which is best for you is enough to make your head spin. So which processor should you choose? And does it really matter?

Modern micro-processors are incredibly complex beasts, housing more than a billion transistors, each about 0.02% of the thickness of a human hair. And they do far more than the CPUs of old; those took inputs, executed instructions on them, and passed the output to memory. Today's processors are mini-computers, incorporating multiple cores, or CPUs, on one chip, alongside short-term memory, or cache, and even graphics processors.

The names Haswell, Broadwell, Skylake and Ivy Bridge are Intel code names for its processor architectures. Ivy Bridge is the oldest, and is used only in the Mac Pro. Haswell was a major re-design of the Ivy Bridge architecture and features on most current Macs. And Broadwell is a relatively minor update to Haswell. It's used in the Retina MacBook, the 2015 MacBook Airs, the 2015 13in MacBook Pro and the 2015 21in iMacs. Skylake appeared later in 2015 in the new 27in iMacs.

There are two elements where one processor can improve over another: the number of instructions it can execute in a given time period, and the amount of power it consumes doing so. While the former is crucial for some applications, like encoding 4K video, rendering complex 3D models and animation, and some mathematics and scientific applications, for most of us it's the latter which should be of most concern.

Before we go in to the details of what a processor does, a little more on the latest Intel chip: Skylake.Intel has called Skylake its ‘most significant processor advancement’ in a decade, and it marks a a big change in CPU architecture. Where Broadwell was an incremental improvement based on the Haswell architecture, Skylake is a step change with some pretty hefty improvements. It’s the ‘tock’, to Broadwell’s ‘tick’ in Intel’s so-called ‘tick-tock’ development strategy.

Among the most exciting improvements are a promise of 20% improvement in CPU performance over Broadwell, support for Thunderbolt 3.0, improved Iris Pro graphics and, potentially most exciting of all, the ability for laptops to charge wirelessly using a technology standard called Rezence.
Rezence is a magnetic resonance wireless-charging standard which has been adopted by the newly-formed Air Fuel Alliance, and organisation formed after the merger of two of the three groups which had been involved in developing competing standards for wireless charging, the Alliance for Wireless Power (A4WP) and Power Matters Alliance (PMA).

With some of the world’s biggest companies behind it, support for Rezence in Skylake, and a commitment to adopt it from many of the major PC vendors, wireless charging is well on the way to becoming a reality for laptop owners. As far as Mac users are concerned, the only remaining questions are will Apple get on board and, if so, when?

Thunderbolt 3.0 is an evolution of the Thunderbolt and Thunderbolt 2.0 interfaces found on current and recent Macs. Interestingly, as far as Apple is concerned, one of its key benefits is that it uses the same cables and interface as USB-C and supports data transfer rates up to 40Mbps. In addition to USB-C, Thunderbolt 3.0 retains support for DisplayPort connections (up to two 4K displays at 60Hz), and also supports PCI Express. Thunderbolt 3.0 can also supply up to 100W of power for charging.

Skylake also has support for DDR-4 RAM and allows for the connection of up to four displays using HDMI or DisplayPort.There are four variants of Skylake, three of them designed for mobile and embedded systems that require low-power consumption.When are we likely to see Skylake in new Macs? Now that the mobile variants of Skylake are shipping, and given their obvious benefits for Mac users, it’s likely that Apple will adopt it straight away in the MacBool line, the iMac, and the Mac mini. So the next version of each of those Macs should have a Skylake architecture.

As for the Mac Pro, that’s more difficult to predict. The Mac Pro, which hasn’t been updated in two years, uses a completely different Intel line, the workstation Xeon processors. These have a different roadmap to desktop and mobile processors. For example, very few Xeon CPUs were released with the Broadwell architecture, and many of those were designed for embedded systems. The good news is that many more Skylake Xeon variants are available, all with quad-core architecture. These could, possibly, be the spur for Apple to upgrade the Mac Pro in 2016. With Skylake and support for Thunderbolt 3.0, the Mac Pro 2016 could be something to get very excited about – if you’ve got the budget or a friendly bank manager.

The power used by a processor affects us in two ways: battery life and heat. Quite simply, all other things being equal, the faster a processor runs, the more heat it will give off and the more energy it will suck from a laptop battery.

 

Asus K42DE Battery

Apple's case has a few advantages: it has a Lightning cable pass-through, which means it can be charged using your default cable, while nearly all other such battery cases require a Micro-USB cable. If it's charged with one of Apple's 10- or 12-watt iPad power bricks, it can charge the iPhone and case simultaneously for faster top-off.

Apple's case has a few advantages: it has a Lightning cable pass-through, which means it can be charged using your default cable, while nearly all other such battery cases require a Micro-USB cable. If it's charged with one of Apple's 10- or 12-watt iPad power bricks, it can charge the iPhone and case simultaneously for faster top-off.

If you could change one thing about your iPhone, what would it be? If you're like me, it's the battery life.No matter what Apple does to improve battery life at a software level, I still can't make my way through the day without plugging in at least once for a quick charge. And I know I'm not alone.An entire cottage industry of battery cases and external batteries has cropped up, led by the likes of Mophie. And sure, I could buy an iPhone 6S Plus — but I don't want a giant phone.

If you're plugged into a regular iPhone charger, the case is smart about switching from charging the case to charging the iPhone.In fact, the case will continuously charge your phone for you as it's on. That's nice because if you do want to lose the case, you can be assured your phone still has a full charge.

Because Apple made the case, you can see the charge status on the phone and the case at all times in Notification Center in iOS.The one real downside of the Smart Battery Case is the headphone jack. It's impossible to get a lot of headphones inside the case. If you have Apple EarPods, they'll work just fine — but if you are using other headphones — including Apple owned Beats headphones — you'll need a headphone extender.I just bought a brand new pair of rose gold Beats Solo 2 Wireless headphones and the cable doesn't fit the case. These are wireless headphones — but I don't always have a charge.

You can buy a $10 auxiliary extender — but that adds bulk and complexity to the process.I am impressed with the battery life I am getting from the case. Apple won't break down the capacity (update: inside the case the capacity is revealed to be 1877mAh — thanks Lauren), but in our tests, it basically doubled my battery life — which meant I could go all day without charging my phone.

The company has said that the specifications for the chip and motherboard socket are available for manufacturers to follow effectively absolving itself of responsibility, but users should still be careful when fitting third-party heatsinks.

9/10/2015: The first wave of Skylake-powered devices have started to arrive onto the market, and they look good.

As one might expect, Dell has been quick to update their products to Intel’s latest processor, refreshing its XPS portfolio of business ultrabooks with 6th-generation chips.

Also fitted with the new CPUs are the latest products from Microsoft. Not only is the forthcoming Surface Pro 4 available with Skylake processors, the newest chipset will also be found in the company’s debut first-party laptop, the Surface Book.

Intel’s new Skylake, or sixth generation Core M, processors will be branded as Core m3, Core m5 and Core m7 and are designed for hybrids, tablets and very thin, fanless ultra-portable laptops. All will be dual-core chips with 4.5W TDP. One of these new Core M processors will be at the heart of a new Intel Compute Stick mini PC although details about this revamped Compute Stick aren’t currently available.

I wish the case was better looking — and I really wish my headphones worked without an adaptor — but the fact that I can charge my phone and the case at the same time is excellent. I also like how easy it is to get the phone in and out of the case.One could argue that by making their own official battery case, Apple is acknowledging that battery life on the iPhone 6 and iPhone 6S is subpar. There is probably some truth to that. But it's also true that as long as users are going to be spending money on battery cases, Apple might as well get a piece of the market.

At $99, this is something we can see plenty of battery-conscience iPhone owners interested in. After all, it's the same price as a Mophie and a little smarter.

I’ve been searching for the perfect Windows laptop ever since Windows 8 was released, three years ago. For much of that time, I reluctantly opted for the MacBook Air simply because there weren’t better, Windows-native options. But running Windows on an Apple laptop isn’t ideal, if only because the keyboard is laid out differently. After that frustrating three-year search, I’ve finally found the best Windows laptop. It’s a laptop that doesn’t resort to origami touchscreen gimmicks or feel like it’s cloning the MacBook yet again. It’s the new Dell XPS 13.

Dell has been working at perfecting the XPS 13 for a while, including an overhauled version it introduced early this year. It was smaller than a MacBook Air, thanks to a beautiful 13.3-inch edge-to-edge display. It was also the first Windows laptop that has come close to the quality and reliability of a MacBook Air. I switched to that early 2015 model as my main machine six months ago, but a few nagging, real problems made it frustrating. Like most Windows laptops, it had trackpad issues, the speed wasn’t quite what it should have been, and Dell’s claim of 11 hours battery life didn’t pan out. The ideas were all there, but it was not a polished experience.

But now, Dell has refreshed the XPS 13 again with some minor improvements that focus on exactly the things that bothered me with the first one: battery life, performance, and the trackpad. I’ve been using the new Dell XPS 13 for the past couple of weeks, and — again — I’m convinced it’s the best Windows laptop out there. Sorry, Surface Book.

Very little has changed externally with the new XPS 13. It looks identical to the same model from earlier this year. Both have stunning edge-to-edge displays that no other laptop makers use, and they’re really the centerpiece of the XPS 13.

Most manufacturers are racing to create the best 2-in-1 hybrid with a crazy Yoga-like hinge, 4K display, and touchscreen, but Dell has gone back to the basics of what we all love about a portable computer. The new Dell XPS 13 shines as a result. I’ve been primarily testing the non-touch model as I prefer its matte display and longer battery life. I don’t need to flip my laptop around into a tablet or touch the display regularly. I’m convinced most people don’t need to just yet either. I love the idea of a combined tablet and laptop, but until there’s enough touch apps designed for this hybrid world, I just want a laptop that works.

THE XPS 13 GOES BACK TO BASICS AND GETS IT RIGHT
Dell’s non-touch model comes with a 13.3-inch 1080p display. But what gets you is just how tiny the bezels around the screen are. It’s like the first time you switched from 3G to LTE: you never want to go back. I’ve ventured back to other Windows laptops like Lenovo’s Yoga 900 and they look old and out of touch by comparison. I can’t bear using my MacBook Air anymore because the aging display in it just feels blurry and old at this point. Dell has done a great job of making the screen blend into the entire laptop, and Windows 10’s dark theme complements it really well.

 

Akku Fujitsu 60.4u50t.011

Aus diesem Grund versuchen sich jetzt diverse Hersteller in der Vermarktung sogenannter Cloudbooks, wie die von Microsoft bezeichneten Billig-Notebooks mit Windows 10 genannt werden. Die deutsche Marke Odys hat diesbezüglich sein neues Trendbook 12 vorgestellt, welches sich auf einem guten Weg befindet, eines der besten Netbooks seiner Klasse zu werden.

Angetrieben von dem bekannten Intel Atom Z3735-Quad-Core-Prozessor, der mit einem Standard-Takt von 1,33 Gigahertz und im Turbo-Boost mit bis zu 1,83 Gigahertz arbeiten kann. Dieser wird von einem zwei Gigabyte DDR3-RAM sowie einem 32 Gigabyte großen Flash-Speicher unterstützt, was für die Preisklasse keinen so schlechten Wert darstellt. Um den Verkaufspreis so niedrig wie möglich anzusetzen, wird das Bild über ein 11,6 Zoll großes TN-Panel wiedergegeben, welches bekanntermaßen keine große Blickwinkelstabilität aufweist. Die Auflösung wird hier mit 1.366 x 768 Bildpunkten angegeben, welche zum Surfen im Internet unter dem neuen Windows 10 vollkommen ausreichend sein sollte.

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Bildquelle: winfuture

Neben zwei USB-2.0-Anschlüssen, Bluetooth 4.0, einem integrierten Microfon, einem HDMI-Ausgang sowie einem Micro-SD-Kartenslot für die Speichererweiterung ist das Beste an diesem Gerät der riesige 44 Wattstunden Akku, der eine Kapazität von 9.500 mAh aufweist. Laut Hersteller sollen damit Laufzeiten von bis zu neun Stunden möglich sein, wobei hier zu sagen ist, dass das in vielerlei Hinsicht identische EeeBook X205TA aus dem Hause ASUS mit einem kleineren Akku mit 10 Stunden deutlich länger durchhalten kann. Demzufolge kann die vom Hersteller angegebene Akkulaufzeit als sehr konservativ angesehen werden, da hier durchaus längere Nutzungszeiten drinnen sein können, insofern das Gerät auch entsprechend eingestellt ist und genutzt wird.

Okay, zählen wir mal durch. Ein Laptop. Ein Router. Zwei Splitter. Sechs Handys. Eine Digitalkamera. Ein MP3-Player. Acht Paar Ohrstöpsel. Drei lose Akkus. Ein riesiges Ladekabelknäuel… Kurz gesagt: Eine überquellende Kiste Elektronikschrott wohnt in meinem Kleiderschrank. Zu meiner Entschuldigung sei gesagt: Erstens, wir sind ein fünfköpfiger Haushalt. Zweitens, ich will das Zeug wirklich seit Jahren loswerden. Drittens, ich bin mit dem Problem nicht allein. Im Gegenteil: Ich bin der typische deutsche Digital-Entsorgungsmuffel. Nachfrage bei den Experten: „Nach neuesten Schätzungen könnten es bis zu 120 Millionen alte Handys sein, die in deutschen Schubladen verstauben“, sagt Katja Werz von der Deutschen Telekom. „Der Fachbegriff dazu heißt ‚Schubladengängigkeit‘“, erklärt Steffen Holzmann von der Deutschen Umwelthilfe. „Niemand käme auf die Idee, fünf alte Waschmaschinen im Keller aufzubewahren.“

Die Innovationszyklen werden immer kürzer, die Lebensdauer elektronischer Geräte immer geringer. Parallel wachsen die Wünsche und Ansprüche der Konsumenten. Im Schnitt alle 18 Monate wechselt der Bundesbürger derzeit sein Handy. Auch PCs, Laptops oder Tablets werden nur wenige Jahre benutzt, bevor sie durch die nächste Generation ersetzt werden. Dass sich in den ausrangierten Geräten wertvolle Metalle – Silber, Gold, Palladium, Kupfer und Kobalt – verbergen, dass sie deshalb dringend recycelt und wieder in den Ressourcenkreislauf eingespeist werden sollten, das wissen mittlerweile die meisten Verbraucher. Theoretisch.

An der praktischen Umsetzung aber hapert es. Die jährliche Pro-Kopf-Sammelquote für alte Elektrogeräten aus privaten Haushalten lag in den vergangenen Jahren in Berlin mit knapp sieben Kilogramm sogar unter dem Bundesdurchschnitt. Bis 2016 strebt der Senat deutlich bessere Quoten an, rund zehn Kilogramm Elektroschrott pro Einwohner und Jahr sollen dann abgegeben werden.

Auf einer illegalen Mülldeponie in Afrika
Warum sind wir überhaupt so zögerlich mit der Rückgabe? Das hat viele Gründe. Nur einer davon ist Bequemlichkeit. Auch Datenschutzbedenken spielen eine große Rolle. Will ich meinen alten Laptop wirklich aus der Hand geben? Vermutlich lassen sich trotz Festplattenlöschung sensible Daten darauf rekonstruieren. Die andere große Sorge gilt dem Entsorgungsvorgang selbst: Wer garantiert mir, dass meine Geräte am Ende nicht doch auf einer illegalen Mülldeponie in Afrika landen, wo sie abgefackelt und ausgeweidet werden und dabei Menschen krank machen und die Umwelt verschmutzen…?

Doch zunächst zurück nach Berlin. Die ordnungsgemäße Entsorgung ist eigentlich ein Kinderspiel. Und in Deutschland natürlich gesetzlich bis ins Detail geregelt. Die Berliner Stadtreinigung (BSR) nimmt an 15 Sammelstellen Elektroaltgeräte an, vom Notebook bis zur Spielkonsole, vom iPhone bis zum Tintenstrahldrucker. Mengenbegrenzungen für Privathaushalte gibt es keine, Kosten entstehen auch nicht. 7494 Tonnen ausrangierte „Informations- und Kommunikationsgeräte“ sind 2013 auf diesem Weg bei der BSR gelandet, in den Jahren zuvor waren es noch mehr.

Was passiert mit all dem Zeug? Die BSR sortiert den Schrott zunächst grob nach Warengruppen vor. Für alles Weitere sind eigentlich die Hersteller zuständig. Denn jedes Unternehmen, das in Deutschland Elektronikgeräte auf den Markt bringt, muss umgekehrt auch eine entsprechende Menge an Schrott entsorgen. Samsung oder Apple oder Toshiba machen das nicht selbst, sondern beauftragen zertifizierte ortsansässige Entsorgungsunternehmen. Die holen den vorsortierten Schrott bei der BSR ab. In Berlin befinden sich zwei große Anlagen zur Erstbehandlung von Elektroaltgeräten, Bral und Remondis heißen die Unternehmen. Außerdem gibt es etliche Behindertenwerkstätten, die sich auf Elektronikrecycling spezialisiert haben. Per Hand werden die Geräte dort aufgeschraubt und zerlegt.

Einzelheiten hat der Hersteller auch zu den betroffenen Akkus veröffentlicht. Demnach handelt es sich um Modelle, die als optionale Akkus oder als Austauschakkus für die unten aufgeführten Modelle verkauft wurden.

Die Laufzeit des Akkus ist für viele Nutzer beim Kauf eines Notebooks ein sehr wichtiges Kriterium, das dementsprechend auch in Testberichten stark gewichtet wird. Schließlich wird der mobile Computer häufig unterwegs genutzt, wo meistens keine Steckdose zur Verfügung steht. Leider ist nicht nur die Laufzeit, sondern auch die Lebensdauer eines Akkus begrenzt. Nach etwa 500 bis 1.000 Ladezyklen liefert das Kraftpaket entweder keine Leistung mehr oder ist nur noch für wenige Minuten zu verwenden. Mit unseren Tipps und Tricks können Sie das Ende der Batterie ein wenig hinauszögern.

Windows, das meistgenutzte Betriebssystem bei Notebooks, bietet Bordmittel, um die Akkulaufzeit zu verlängern. Profile zum Energiesparen finden Sie etwa in Windows 7, wenn Sie in der Systemsteuerung zuerst Hardware und Sound und dann Energieoptionen anklicken. Unter Windows XPGehe zu Amazon für weitere Produkt-Informationen! finden Sie die Energieoptionen direkt in der Systemsteuerung. Durch Profile lassen sich hier beispielsweise die Bildschirmhelligkeit, die Zeit bis zum Ausschalten des Displays oder bis zum Wechsel in den Stand-by-Modus sowie die Leistungseigenschaften der Grafikkarte oder des Prozessors festlegen.

Bild zu Akkus bieten nur eine begrenzte Zeit ausreichend Strom.
Akkus bieten nur eine begrenzte Zeit ausreichend Strom. Wenn Sie unsere Tipps und Tricks beherzigen, haben Sie aber länger Freude mit ihrem Notebook-Akku. © PC-Welt 
Die Laufzeit Ihres Notebook-Akkus können Sie zudem verlängern, wenn Sie unnötige Dienste abschalten. Wird gerade keine Verbindung via Bluetooth oder WLAN benötigt, fressen diese Funktionen nur unnötig Strom und sollten deshalb deaktiviert werden. Auch externe Geräte, die Sie gerade nicht verwenden oder aufladen möchten - etwa zusätzliche Festplatten, USB-Sticks oder Digitalkameras - sollten zur Verlängerung der Akku-Laufzeit entfernt werden.

 

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