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Batterie Lenovo Thinkpad T61p

Dans le monde hautement compétitif des fabricants de smartphones chinois, Meizu continue de se démarquer, notamment avec sa série MX. Le design ne surprend plus, mais le rapport qualité/prix suscite un intérêt certain, renouvelé à chaque édition. Et ce n'est pas ce MX5 qui nous fera mentir.

MX3, MX4 et maintenant MX5 : la série phare de Meizu poursuit sa route, d'un pas déterminé. L'apparence globale ne change guère, on décèle toujours une inspiration « appelesque », avec un mix d'iPhone 3Gs et de 6. Mais le smartphone grandit un peu plus tous les ans et son niveau de finition s'améliore.

Nous reprochions au MX4 de faire les choses à moitié en matière de finition : prévoir un châssis en alliage métallique mais y ajouter une coque en plastique et un joint autour de l'écran, un rien baveux. Meizu a rectifié le tir puisque son smartphone est cette fois totalement métallique, un vrai unibody bien costaud et élégant.

Du haut niveau ! Les chanfreins (bords biseautés) créent des arêtes assez vives qui favorisent une bonne tenue du téléphone sans être non plus trop tranchantes et désagréables. En revanche, ils sont polis donc marquent assez rapidement. Meizu décline son appareil en plusieurs coloris : doré ou trois nuances de gris (teintes réalisées par injection, nous dit-on).

Le MX5 intègre désormais un écran 1080p de 5,5 pouces, au lieu de 5,36 pouces sur le MX4. Les dimensions n'ont pourtant guère évolué, en tout cas, pas en mal : le MX5 mesure, certes, 6 mm de plus en hauteur, mais un demi millimètre de moins en largeur, et encore 1,3 de moins en épaisseur ! L'intégration de l'écran reste très bonne, il occupe autour de 74 % de la façade du smartphone.

Mais surtout, la dalle AMOLED fabriquée par Samsung offre un taux de contraste infini : le point blanc mesuré à 348 cd/m² et avec une température de 6 498 K ressort magistralement grâce au point noir à... zéro candela ! C'est impressionnant, et effectivement quand on affiche un aplat noir à l'écran et qu'on éteint le téléphone, on ne voit pas de différence. L'autre cas de figure où le contraste est bluffant, c'est quand on utilise le téléphone dans l'obscurité en affichage noir et blanc (mode d'économie d'énergie Super).

Bref, de l'AMOLED qui contraste comme personne mais présente également le défaut de saturer à l'excès. Et contrairement à Samsung, qui connait bien les travers de sa technologie et propose dans ses Galaxy un mode d'affichage « Photo » plus doux, ici, le seul réglage dont on dispose c'est « Chaleur chromatique ». Attention donc si vous retouchez des images sur smartphone : ce que vous voyez est assez loin de la réalité. Les angles de vision ne sont pas non plus exceptionnels, et avec l'AMOLED, le blanc a la fâcheuse tendance à virer au vert.

L'autre grande nouveauté, c'est l'intégration d'un bouton d'accueil à la fois mécanique, tactile et biométrique. Une vraie pression physique permet donc de retourner à l'accueil, tandis qu'un simple contact produit le retour en arrière. L'utilisateur peut enregistrer des empreintes pour déverrouiller le téléphone : le composant biométrique choisi par Meizu est plus rapide et efficace que celui du OnePlus 2 ; contrairement à ce dernier toutefois, le MX5 doit être ranimé pour que le dispositif fonctionne (on ne peut pas déverrouiller un smartphone en veille, écran éteint). Dans l'ensemble et au quotidien, l'ergonomie s'en trouve bien améliorée.

Quid de la partie audio, ex-cœur de métier de Meizu ? Côté haut-parleurs, le MX5 figure parmi les bons élèves. Le haut-parleur principal crache à 87,5 dB, avec une relativement bonne reproduction des fréquences. Un résultat satisfaisant, similaire à celui du MX4, que seul le OnePlus 2 dépasse. Le haut-parleur dédié aux conversations téléphoniques se montre lui aussi de très bonne facture : les voix sont fidèlement retranscrites.

Côté prise casque en revanche, Meizu affiche une importante baisse de régime, qui semble devenir une tendance : le MX4 faisait moins bien que le MX3, le MX5 est inférieur au MX4, tout se perd... Même un Nexus 5, pourtant peu connu pour la verve de sa prise jack, fait preuve de davantage de panache. Et à côté d'un OnePlus 2, la différence est violente... Que s'est-il passé chez Meizu ? On a demandé, et ce que nous présentions se confirme : le DAC Wolfson WM8281 du MX4 a disparu, et sera désormais réservé au MX5 Pro.

Meizu vient taper dans la zone de prix 340-400 euros délaissée par Google avec ses nouveaux Nexus, mais dans laquelle on trouve tout le haut de gamme des constructeurs chinois, et notamment le 2 de OnePlus. Le MX5 recourt à la crème des SoC Mediatek, le MT6795T. Il s'agit d'un octuple cœurs 64 bits cadencé à 2,2 GHz, capable en théorie de faire tourner toutes ses unités de calcul à pleine puissance, de proposer du slow motion à 480 fps en 1080p ou encore de gérer l'encodage et le décodage matériel de vidéos 4K en H.265. Ce SoC est assorti de 3 Go de RAM, 16, 32 ou 64 Go de stockage non extensible (nous n'avons trouvé cette dernière capacité nulle part) et une batterie de 3 150 mAh.

Dans les faits, le téléphone est parfaitement fluide et la puissance ne manque pas pour faire tourner les jeux les plus exigeants, comme Mortal Kombat X ou Need For Speed No Limits. En revanche, quand tous les cœurs s'affairent, le smartphone chauffe un peu (40° sous Mortal Kombat X). Et il sous-cadence alors le processeur, comme nous avons pu le constater en enchaînant trop vite les épreuves de bench... En cela, ce MT6795T ressemble bien au Snapdragon 810.

La partie réseau n'est pas non plus vraiment au niveau : il y a du Wi-Fi ac double band et du Bluetooth, soit. Mais pas de NFC et surtout, une 4G privée de la bande de fréquence des 800 MHz, la plus utilisée en France. Nos tests de débits effectués avec une carte SIM SFR, aux mêmes moments et endroits entre le MX5 et le OnePlus 2 reflètent bien notre ressenti à l'usage. Côté MX5, les débits descendant oscillent entre 3,7 et 11,5 Mbps, ceux montants entre 1,3 et 4,7 Mbps. Avec le OnePlus 2, ces mêmes fourchettes de vitesses s'établissent entre 22,2 et 37,3 Mbps, et entre 2,7 et 8,1 Mbps. A cela, nous serions tentés d'ajouter que la réception du réseau n'a pas non plus fait preuve d'une grande sensibilité. Ceci est probablement lié au DAS faible du téléphone. Le MX5 ne posera pas de problème à ceux qui n'ont pas d'abonnement 4G ou qui sont habitués à tout faire en Wi-Fi. Mais pour les autres, c'est un défaut assez rédhibitoire.

La ROM de Meizu est passée de la version 4 à l'époque du MX4 à la 4.5 sur ce MX5 (en attendant l'imminente V5.0). C'est toujours une interface assez agréable car pas trop chargée, avec la plupart des applications qu'on peut désinstaller et relativement bien adaptée (plus que la V4.0). Seuls l'application de personnalisation et l'app store Meizu précisent que tout le contenu disponible est en chinois. Pour le reste, tout est fonctionnel et en français. Une partie des utilisateurs apprécieront l'organisation type iOS du launcher Meizu, c'est-à-dire sans tiroir d'application. Pour les autres, il suffira d'installer un launcher alternatif comme celui de Google pour une expérience « à la Nexus ».

L'assortiment d'applications de base Meizu est plutôt bon et complet : client email, navigateur, lecteur multimédia, bloc-note, explorateur de fichier, enregistreur, galerie photo, peinture, etc. Hormis la prise en charge d'Exchange, sur laquelle Meizu a reconnu un bug qu'il s'évertue à résoudre, tout est opérationnel.

Suite au succès d'Autolib' à Paris, Bolloré a exporté son modèle d'autopartage dans plusieurs villes : Lyon, Bordeaux, Indiannapolis, Londres.... Le groupe mise désormais sur le marché des transports en commun et veut refaire de la capitale son territoire d'expérimentation. Un marché prometteur à l'aube de la COP21.

Avec près de 3500 véhicules Bluecar en autopartage à Paris pour 90 000 abonnés, l’opération est un succès pour le groupe Bolloré. Grâce à ce pari lancé en 2011, l’industriel a pu exporter avec succès son concept d’autopartage dans plusieurs villes. Avec sa filiale Blue Solutions, Bolloré veut aller plus loin. Avec le lancement de la décapotable Bluesummer, de la Blueutility, mais aussi du Blueboat, du Bluebus et désormais du Bluetram, le groupe s’impose comme un incontournable de la mobilité électrique.

Blue Solutions veut profiter de la COP21 pour faire connaître l’ensemble de ses solutions et booster ses commandes. Pour cela, le coup de com’ a été bien pensé et repose sur deux fronts. 6 Bluetram seront testés sur les Champs-Elysées du 15 novembre au 15 janvier. Par ailleurs, la RATP dévoilera le Bluebus de 12 mètres de l’industriel, lors de la COP21.

Blue Solutions produit un bus électrique de 6 mètres à Laval et à Ergué-Gabéric. Si ce bus a séduit quelques villes (Luxembourg, Vannes, Laval, Reims, Tours…), le marché reste de niche. Le bus de 6 m possède 3 pack batteries, offrant une énergie embarquée de 90 kWh et une autonomie de 120 km. Ses batteries se rechargent complètement en 8 heures. « Un bus sort tous les trois jours et le 148e vient de quitter la chaîne de montage», confie Glenn Raude, Responsable Qualité-Environnement du site d’ Ergué-Gabéric. Mais grâce à son nouveau bus de 12 m, Bolloré va pouvoir se positionner sur le gros du marché. « Le 6 m concerne un marché de niche. Mais le 12 m, c’est 90 % du marché » confirme Glenne Raude.

Dans le cadre de son plan Bus 2025, la RATP vise à remplacer les 4 500 bus de son réseau francilien par un parc 100% électrique et biogaz d’ici 10 ans. Ce plan engendre une commande très intéressante pour les industriels du secteur : 3 600 bus électriques et 900 bus au biogaz. Bolloré espère remporter une bonne partie de la future commande. Il est déjà assez bien parti. Disposant d’une autonomie espérée par la RATP allant de 180 km à 250 km grâce à ses 8 pack batteries placées sur le toit, le Bluebus de 12 mètres a été retenu pour un test grandeur nature de deux ans. Courant 2016, la ligne 341 sera entièrement exploitée par 23 Bluebus. Les premiers prototypes de Bluebus seront livrés dans les prochaines semaines à la RATP. Une nouvelle extension de l’usine d’Ergué-Gabéric devrait ouvrir en janvier 2016 pour lancer la production industrielle.

Par ailleurs, la RATP testera le matériel proposé par d’autres constructeurs sur les lignes 21 et 147. Pendant environ deux mois, plusieurs prototypes de bus électriques seront testés, parmi ceux de l’espagnol Irizar, du polonais Solaris, du chinois Yutong associé au français Dietrich Carebus Group, du hollando-chinois Ebusco ainsi que du français Heuliez. L’appel d’offre définitif sera lancé en 2017 et les premières livraisons massives de bus électriques sont prévues pour 2019.

Embal’Services, installée à Vigneux-sur-Seine (91) a été racheté le 1er octobre dernier par la société Getra, spécialisée dans le banderolage et le cerclage et distributeur exclusif de la marque Mosca, premier fabricant mondial de cercleuses, ainsi que de OMS, Atlanta, Aerfast, Area, Getra, Bandall et Buhnen.

Filiale de Van Haerden Hexagone, Getra est présent depuis plus de 50 ans dans le secteur des arts graphiques. Implantée à Saint-Amé (88), l’entreprise certifiée ISO 9001 dispose d’une usine de 15 000 m2 et emploie 140 personnes pour un chiffre d’affaires en 2013 de 12,5 millions d’euros.

Elle regroupe ses activités autour de trois domaines : adhésives (installations de colle froide et chaude), engineering (installation de lignes automatiques pour le cerclage et l’emballage de palettes) et packaging (emballage final), et propose essentiellement du matériel de cerclage et de banderolage (banderoleuses orbitales, horizontales, palette, housseuses stretch, machines de mise sous bande, cercleuses paquet, palette, etc.) ainsi que tous les consommables qui vont avec.

Fondée en 1993, la société Embal’Services a réalisé un chiffre d’affaires de 380 600 euros en 2014. Elle est spécialisée dans la vente, la location et la distribution de matériels de regroupement. Elle distribue principalement des banderoleuses de table allemande de la marque Busch. En devenant une filiale de la société Getra, elle va pouvoir poursuivre et étendre son activité sur l’ensemble du territoire.

 

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En décembre prochain débutera la première phase de déploiement du compteur électrique communicant Linky. D’ici la fin de l’année 2016, ces boitiers verts viendront remplacer les modèles plus anciens dans 3 millions de bâtiments. A terme, ils équiperont les 35 millions de clients reliés au réseau de distribution d’électricité français. L’énormité des chiffres laisse entrevoir la complexité technique d’un tel chantier.

Pour s’assurer de l’efficacité de ces nouveaux équipements, le gestionnaire public Electricité Réseau Distribution France (ERDF), chargé du projet, a inauguré le 12 octobre à Nanterre (Hauts-de-Seine) le Linky Lab. Dans ce centre, les prototypes de compteurs électriques et de concentrateurs de données sont testés avant le lancement d’une fabrication en série. Des essais qui contrôlent non seulement les caractéristiques physiques du matériel, mais aussi la robustesse des logiciels embarqués.

Car, sous son apparence rudimentaire, le compteur communication Linky cache un système informatique pointu. Il enregistre de nombreuses données chiffrées sur le circuit électrique du bâtiment, notamment ses consommations quotidiennes. Converties en impulsions électriques, elles sont transmises par les câbles du réseau vers un concentrateur situé en général dans le poste de distribution le plus proche. Celui-ci les envoie par l’intermédiaire du réseau de téléphonie à des serveurs de stockage. Les fournisseurs d’énergie, ERDF et les consommateurs auront ainsi accès à ces informations.

La chaine de communication fonctionne également dans l’autre sens. Le gestionnaire de réseau est en mesure d’activer un compteur ou de modifier la puissance souscrite d’un bâtiment à distance. « Notre système se veut évolutif, souligne Bernard Lassus, directeur du projet Linky au sein d’ERDF. Le logiciel actuel n’occupe qu’une petite partie de la mémoire interne de nos appareils. A l’avenir, nous pourrons installer de nouveaux services. »

Le parcours des prototypes des six fabricants retenus (Elster, Itron, LandisGyr, Maec, Sagemcom, et Ziv) débute dans la salle d’analyse des propriétés physiques. Ils subissent alors une batterie de tests de résistance : aux variations de puissance électrique, aux conditions climatiques, au vieillissement, aux manipulations lors de la pose et même aux pressions exercées sur ses boutons. Les équipes d’ERDF ne leur épargnent rien. Après chaque épreuve, ils vérifient la capacité de l’appareil à enregistrer des données et à les transmettre. Toutes ces opérations prennent huit semaines.

Pour le programme informatique embarqué, les analyses se dérouleront sur trois semaines. Le compteur passe par pas moins de 2 496 tests. Les ingénieurs observent sa capacité à appliquer une grille tarifaire, à acheminer des données quotidiennement ou bien encore à comprendre les instructions qui lui sont communiquées. « Notre protocole évolue en fonction des premières évaluations en condition réelle, remarque Bernard Lassus. Lors d’une de ces expérimentations, nous avons découvert que les impulsions électriques envoyées sur le réseau par des alimentations d’ascenseurs ou des récepteurs TNT pouvaient brouiller nos signaux. Nous devions prendre en compte cette éventualité dans nos contrôles. »

Quant aux concentrateurs, c’est leur interopérabilité qui est éprouvée. Ils doivent servir d’intermédiaire avec un appareil, quelle que soit sa marque. Enfin, le chemin se termine par une phase d’essais denses où la chaîne de communication entre le compteur et les serveurs sont reproduits. « Une fois les prototypes validés, les constructeurs lancent la fabrication d’une présérie de 130 unités sur sa chaine de montage. Nous examinons l’ensemble de ces produits. Une fois que la production de masse sera lancée, nous réaliserons ensuite des essais aléatoires », explique le directeur. Après tous ces évaluations, les équipements Linky posés devraient émettre pendant au moins 20 prochaines années.

On retrouve par ailleurs la suite Sécurité qui sert à accomplir toutes sortes d'optimisations dont il ne faut pas trop abuser non plus. L'actualisation de la RAM ou la gestion des modes d'alimentation, ça peut être utile... mais la purge des fichiers indésirables a tendance à faire un peu trop de ménage, attention.

Il nous faut également souligner quelques couacs ergonomiques : les intitulés des choix dans les fenêtres d'action sont collés (annuler, supprimer, valider, etc.), aucun accès aux paramètres dans le volet de raccourcis, impossible de déployer l'intégralité du volet de raccourcis un en coup, la gestuelle du gestionnaire de tâche entre parfois en conflit avec d'autres applications, ou encore, la sortie du mode avion est particulièrement lente. Rien de très grave mais des points à améliorer tout de même. Et malgré tout, au quotidien, le téléphone reste plutôt agréable à utiliser.

En matière de photo, Meizu a conservé le même capteur CMOS 20,7 mégapixels en type 1/2,3 pouce, mais a changé de lentille et adjoint une cellule de mise au point par laser infrarouge, comme sur tous les smartphones de cette trempe aujourd'hui. Le MX5 profite assez largement de cette nouvelle formule optique : le piqué est meilleur, l'homogénéité, plutôt bonne. Meizu a su rectifier le tir par rapport au MX4, c'est appréciable.

Pour ce qui est du traitement d'image, les rendus en basses sensibilités sont beaucoup moins poussifs que sur le MX4, là encore, le progrès est net. La dynamique est mieux préservée. Dans les hautes sensibilités, le MX5 moutonne toujours beaucoup, mais le bruit de luminance est moins marqué que sur le MX4. Les détails fins sont dilués par le lissage ambiant, mais les photos restent encore bien lisibles à 1 600 ISO... si elles sont nettes.

En effet, dans les environnements peu lumineux, le principal ennemi n'est pas tant le bruit numérique que le manque de précision de l'autofocus (qui se débrouille bien avec de la lumière), ou l'absence de stabilisation optique. Sans oublier cet autre défaut du MX5, constaté en toutes circonstances, qui est l'importante latence au déclenchement : 0,40 s, entre le moment où on déclenche la photo et celui où elle est prise (avec la mise au point faite au préalable). C'est bien beau de mettre de l'AF laser, si derrière ça ne suit pas... Autrement dit, le MX5 est plus adapté pour du paysage que de la photo d'enfants qui ne tiennent pas en place.

Par ailleurs, la mesure d'exposition calée sur la zone de mise au point devrait pondérer davantage son analyse de lumière. A chaque fois qu'on indique la zone de mise au point à l'application, le MX5 fait une mesure d'exposition de type spot, c'est-à-dire très tranchée. Les clichés surexposés ne manquent pas. Dommage également que le réglage HDR ne soit pas accessible plus facilement : là, il faut dérouler l'énorme bandeau noir de menu pour voir l'option apparaître. Surtout que la HDR fonctionne bien sur le MX5 (si on ne bouge pas) !

Tout comme la technologie d'écran à LED, sa rivale LCD n'échappe pas aux défauts, enfin seulement pour certaines séries de production. À croire des retours émis par la communauté, il se trouverait certains Nexus 5X avec différents défauts d'écran, mais le plus rapporté est très certainement celui de l'écran jauni. À l'heure où les écrans AMOLED affichent des couleurs éclatées « très tape-à-l'œil » ou que ceux de certains Sony Xperia sont bleutés ou violacés, il est possible que le Nexus 5X que vous possédez ou allez bientôt recevoir aura un écran avec une teinte jaunâtre.

En excluant la comparaison avec un Nexus 5X exempt de défaut, il demeure assez complexe de voir si l'écran est ou non jauni à l'œil nu. Pour le vérifier, il vous suffit de prendre une feuille blanche, puis de la comparer avec l'écran de votre Nexus 5X. Vous devriez être fixé en l'espace de quelques secondes. Quoi qu'il en soit, il ne faut pas hésiter à vous faire entendre. Si jamais vous constatez ce genre de défaut sur votre Nexus 5X, nous ne pouvons que vous conseillez de faire jouer la garantie en vue d'un remplacement du smartphone par Google ou le revendeur concerné.

Problème de performances du Nexus 5X

Si le Nexus 5X rencontre des soucis de performances, c'est peut-être parce qu'un ou plusieurs bugs se sont immiscés dans le logiciel. Pour régler cela, la première chose à faire est de vérifier si le numéro de version/build d'Android de votre Nexus 5X est à jour ou non. Ensuite, notez qu'une nouvelle version d'Android peut mettre un certain temps pour être compatible avec toutes les applications, du fait que les développeurs de ces dernières ne les ont pas encore forcément optimisées. En somme, il se peut alors que des bugs se créaient et provoquent des dysfonctionnements qui peuvent se caractériser par des plantages jusqu'à des redémarrages aléatoires de l'appareil.

Suite à un problème de place, LG a déclaré qu'il avait dû monter l'appareil photo dorsal de tous ses Nexus 5X à l'envers, ce qui explique pourquoi les applications alternatives dédiées à l'appareil photo prennent des photos à l'envers, sauf pour l'application officielle de Google. Pourquoi ? Pour ceux qui l'ignorent, l'application 'Appareil photo Google' est basée sur 'Camera API2' qui est une fonction capable de savoir si le capteur est dans le bon sens, à la différence des applications alternatives, disponibles sur le Google Play, qui sont encore basées sur 'Camera API1'.

Problème d'autonomie (batterie) du Nexus 5X

S'il vous arrive de constater des fuites anormales de batterie ou que l'autonomie ne vous satisfait tout simplement pas, sachez qu'il est maintenant possible de savoir quoi consomme quoi dans votre terminal Android. Pour cela, le menu dédié à la batterie héberge une nouvelle option qui permet de consulter la quantité consommée en « mAh » des processeurs. Pour retrouver cette caractéristique, rendez-vous dans 'Batterie', puis cliquez sur un processus :

En voulez-vous encore plus ? Il est effectivement possible d'aller plus loin. En vous rendant dans la section dédiée aux applications, notez que chaque profil d'applications est maintenant scindé sous la forme de sous-menu. Parmi eux s'en trouvent un appelé 'Batterie', où il est possible de consulter le détail de la consommation énergétique de l'application. Plutôt sympa, cela permet aux utilisateurs d'avoir une vraie opinion en se basant sur la capacité batterie.

 

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Des Weiteren bestätigt der neue Bericht abermals die Existenz eines Nachfolgers für das Lumia 830. Diese somit vermutlich Lumia 840 genannte Modell soll aber nicht zusammen mit den zwei neuen Flaggschiffen im Herbst 2015 auf den Markt kommen, sondern erst etwas später zum Ende des Jahres. Ob die drei Smartphones dennoch zur selben Zeit vorgestellt werden, bleibt abzuwarten. Alle werden aber jedenfalls laut den Angaben von NokiaPowerUser keine kapazitiven Bedienelemente mehr unter dem Display besitzen, sondern nur mit On-Screen-Tasten aufwarten.

Gemäß bisheriger Gerüchte wird es sich beim Lumia 840 um ein Mittelklassegerät handeln, das dem neuen Motorola Moto G (2015) aus dem Android-Lager in vielerlei Hinsicht sehr ähnlich sein sollte. Wirklich spruchreif ist diesbezüglich aber noch nichts. Die mehrfach durchgesickerten Spezifikationen von Lumia 940 und Lumia 940 XL zeichnen hingegen bereits ein sehr eindeutiges Bild von zwei modernen Premium-Smarpthones mit High-End-Ausstattung.

Trotz der umfangreichen und häufigen Leaks in den letzten Tagen und Woche ist sich die Gerüchteküche nach wie vor nicht ganz schlüssig darüber, wann Microsoft diese neuen Smartphones offiziell der Weltöffentlichkeit präsentieren möchte. Ein guter Tipp bleibt natürlich die IFA 2015 in Berlin Anfang September. Zuletzt war allerdings auch zu hören, dass der Redmonder Softwareriese die offizielle Präsentation seiner neuen Smartphone-Line-up und von Windows 10 Mobile erst im Oktober auf einem speziell dafür angesetzten Event abhalten möchte.
Sony wird am kommenden Montag ein neues Smartphone mit Android 5.1 Lollipop vorstellen. Der japanische Hersteller hat auf Twitter damit begonnen, die Werbetrommel für die anstehende Produktpräsentation zu rühren. Aktuellsten insiderinformationen nach handelt es sich bei dem kommenden Smartphone um das Xperia C5 Ultra, welches vor allem durch sein edles Design überzeugen soll.

Unter dem Codenamen Lavender geistert seit längerem ein neues Sony-Smartphone mit nahezu randlosem Display durch die Gerüchteküche. Bislang konnte von Insidern nicht endgültig aufgeklärt werden wie das Gerät bei seiner Vorstellung heißen wird, doch der beste Tipp ist vermutlich Xperia C5 Ultra. Nachdem Spekulationen um die Vorstellung dieses neuen Xperia-Modells im Rahmen der IFA 2015 im September, teasert Sonys Mobilgerätesparte jetzt eine Produktpräsentation für kommenden Montag an.

Mit zwei Twitter-Posts rührt Sony schon mal kräftig die Werbetrommel für eine Smartphone-Ankündigung am 3. August. In einem der Posts heißt es „something golden is sparkling on the horizon“, was zu Deutsch so viel heißt wie ein goldener Schimmer glitzert am Horizont. Das kann so interpretiert werden, dass es das kommende Smartphone diesmal auch in einer für die Xperia-Reihe brandneuen, goldenen Farbvariante geben wird.Sonys zweiter Teaser auf Twitter bezieht sich offenbar auf die Kamera-Fähigkeiten des neuen Modells. Das Unternehmen schreibt nämlich „focus closely now, a new way to capture split-second photos is coming“. Daraus lässt sich im Grund nur schließen, dass das Smartphone Aufnahmen mit extrem kurzer Auslösezeit ermöglichen wird. Davon abgesehen setzt Sony unter den Satz das Bild eines Wassertropfens - ebenfalls vielsagend in der Farbe Gold.

Trotz der Teaser ist noch nicht wirklich klar, ob Sony das vermeintliche Xperia C5 Ultra am Montag nur vorstellen oder auch direkt auf den Markt bringen wird. Gut vorstellbar ist aber, dass der globale Marktstart erst Anfang September zur IFA in Berlin erfolgen wird.
Bezüglich der Ausstattungsmerkmale des neuen Sony-Smartphones gibt es keine neuen Erkenntnisse. Den aktuell im Netz kursieren Infos nach wird das Gerät ein 5,5 Zoll großes Full-HD-Display, LTE-Unterstützung und Android 5.1 Lollipop bieten. Darüber hinaus soll es von dem 64-Bit-fähigen Octa-Core-Prozessor MT6572 von Mediatek angetrieben werden und über 2 Gigabyte RAM, 16 Gigabyte internen Flash-Speicher, einen microSD-Kartenslot sowie eine 13-Megapixel-Hauptkamera verfügen.

Apple wird im September ein neues Apple TV Modell ankündigen. Das jedenfalls geht aus einem aktuellen Bericht von BuzzFeed News hervor. Die Publikation will aus informierten Kreisen erfahren haben, dass die kommende Set-Top-Box unter anderem mit eigenem App Store und einer Fernbedienung mit Touchpad daherkommen wird.
Apples Set-Top-Box Apple TV hat seit 2012 kein bedeutendes Hardware-Update mehr erhalten. Nun sieht es aber ganz so aus als käme im September endlich ein neues Modell auf den Markt. Wie BuzzFeed News informiert, plant Apple in jenem Monat die Vorstellung eines komplett überarbeiteten Apple TV, und das sehr wahrscheinlich während desselben Events, auf dem auch die neuen iPhones enthüllt werden.

Das neue Apple TV Modell soll einige signifikante Neuerungen mitbringen. Zu diesen gehören BuzzFeed News nach unter anderem ein eigens für das Wohnzimmererlebnis konzipierter App Store, intelligente Sprachsteuerung dank Siri-Integration und eine neuartige Fernbedienung mit Touchpad. Die Set-Top-Box an sich soll noch etwas kompakter sein und natürlich auch mit einer leistungsfähigeren Hardware aufwarten als das aktuelle Modell.

Wichtig zu erwähnen ist, dass die genannten vermeintlichen Features des neuen Apple TV bereits seit ein paar Monaten im Netz kursierten. BuzzFeed News selbst war es, die über diese im vergangenen Frühjahr berichtete. Damit einher ging die Meldung, Apple werde die rundum erneuerte Set-Top-Box im Rahmen der WWDC (World Wide Developers Conference) Anfang Juni präsentieren. Offenbar wurden derlei Pläne aber von dem kalifornischen Unternehmen noch relativ kurzfristig verworfen und der Vorstellungstermin nach hinten verlegt. Den neusten Informationen nach soll Apple die zusätzliche Entwicklungszeit genutzt haben, an dem Gerät noch einmal letztes Feintuning vorzunehmen. Jetzt scheint alles bereit für die Ankündigung.
Apple iPhone 6s: Alle Infos im Überblick
Falls die Angaben der US-Publikation korrekt sind - und wir sehen keinen Grund, daran zu zweifeln - dürfte das vermutete September-Event auch 2015 wieder ein sehr bedeutendes für Apple werden. Im vergangenen Jahr hatte das Unternehmen im September neue iPhones und die Apple Watch enthüllt. Zusätzlich zum neuen Apple TV mit eigenem App Store wird in diesem Jahr die Vorstellung von iPhone 6s und 6s Plus erwartet. Die beiden neuen iPhone-Topmodelle sollen in Form und Größe zu iPhone 6 und iPhone 6 Plus identisch sein, allerdings mit deutlich aufgewerteter Hardware und einem Force Touch Display aufwarten.
Wie Microsoft nun bekannt gegeben hat, wurde der Windows 10 Download in den ersten 24 Stunden nach dem Marktstart bereits auf mehr als 14 Millionen Geräten installiert. Dabei sollen aber noch nicht einmal annähernd alle Nutzer bedient worden sein, die sich für ein kostenloses Upgrade registriert haben. Für Microsoft ist das der erste Schritt auf dem Weg zu einer Milliarde Windows-10-Geräte in den nächsten Jahren.

FOTOGALERIE (1)Windows 10: Die Luftballons von den Feierlichkeiten zum Marktstart sind noch nicht abgenommen da stellt das neue Windows bereits Rekorde auf.
Microsoft hat am vergangenen Mittwoch den Marktstart von Windows 10 groß gefeiert und rollt das neue Desktop-Betriebssystem nun in mehreren Wellen aus. Dieser Prozess ist allerdings bereits so erfolgreich, dass der Softwareriese heute stolz verkünden konnte, Windows 10 sei nach 24 Stunden auf über 14 Millionen PCs installiert worden. Microsofts Yusuf Mehdi machte in einem Blogbeitrag außerdem deutlich, unzählige Installationen würden noch ausstehen bis auch wirklich alle, die sich für das kostenlose Upgrade registriert haben, ihr Exemplar des Betriebssystems nutzen können.

Den Angaben von Microsoft nach werden diejenigen Nutzer bevorzugt beziehungsweise schneller mit dem Windows 10 Download bedient, die sich schon lange vor dem offiziellen Launch-Termin eine Kopie der Software sicherten. Natürlich ist es andererseits aber auch jetzt nach wie vor möglich, sich als Besitzer einer gültigen Lizenz von Windows 7 oder 8/8.1 für das Upgrade anzumelden. Microsoft wird diese Aktion ein Jahr lang (bis 29. Juli 2016) anbieten. Wer sich für ein Upgrade auf Window 10 registriert hat, bislang jedoch auf eine Benachrichtigung zum Download-Start des Betriebssystems wartet, der muss sich entweder noch etwas länger in Geduld üben, oder kann die Installation alternativ auch manuell anstoßen. Das gelingt wiederum, indem in der Kommandozeile als Administrator den Befehl wuauclt.exe /updatenow eingeben wird. Nach wenigen Minuten sollte dann der Upgrade-Prozess über Windows Update starten.
Falls unvorhergesehene Problemen beim Upgrade auf Windows 10 auftreten, sollten Anwender laut Microsoft nicht verzagen, da es verschiedene Möglichkeiten gebe, Hilfe zu bekommen. Eine erste Anlaufstelle sind die Support-Webseiten des Unternehmens. Ergänzend dazu arbeitet Microsoft eigenen Angaben nach aber auch eng mit Einzelhändlern zusammen, um Kunden bei Problemen zu helfen.

 

 

 

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