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Un petit ne fait pas la différence entre une minute et une heure, ni entre deux jours et une semaine. La conscience du présent survient aux alentours de 6 ans, alors que les repères mensuels, des saisons et des années se développent à 7 ou 8 ans. Pour mieux comprendre ce mécanisme, des chercheurs de l'INSERM ont suivi 105 enfants âgés de 6 à 11 ans, tous scolarisés en région parisienne.

Dix, c'est beaucoup ?

Les chercheurs les ont soumis à une batterie de tests. Chacun a dû évaluer les durées séparant quatre stades de la vie d'une personne : bébé, puis enfant, adulte et enfin vieillard. Puis indiquer l'heure affichée par les aiguilles de cinq montres identiques dessinées sur une feuille de papier, préciser séparant de son précédent et prochain anniversaire, et estimer la durée de l'entretien passé avec le chercheur.

Résultat, la connaissance du temps s'acquiert principalement entre 6 et 8 ans. Période du développement de l'enfant la plus propice au mécanisme d'apprentissage. Un processus « intimement lié aux compétences numériques de l'enfant », indique Georges Dellatolas, spécialiste en neuropsychologie et coauteur de l'étude.

Au total, quatre facteurs principaux contribuent à l'acquisition des grandes unités de temps : la connaissance académique des nombres, l'aptitude à faire correspondre un nombre à une distance, la mémoire à court terme indispensable pour comparer des nombres présentés à l'oral, et enfin la capacité à remettre un nombre dans son contexte (dix, c'est beaucoup si l'on parle du nombre d'enfants dans une famille, et peu s'il s'agit du nombre de feuilles sur un arbre).

Actuellement, les scientifiques mènent cette étude auprès d'enfants atteints de pathologies altérant le maniement des nombres (dyslexie, certaines tumeurs cérébrales…). Objectif, mieux identifier les obstacles à l'origine des retards d'acquisition et améliorer la prise en charge.

Ce mercredi soir, c’est Philippe Herbette, récemment devenu président directeur général du groupe Moving, qui se prête au jeu de l’émission Patron Incognito.

Ce mercredi 13 à 21 heures, l’émission Patron Incognito revient sur M6. Cette fois, c’est Philippe Herbette, 43 ans, nouveau PDG du groupe Moving, qui va plonger en immersion au sein de son propre réseau, en se mettant dans la peau de Jimmy Delair, 38 ans, ancien vendeur de produits biologiques en reconversion.

Il va y avoir du sport !
Pour commencer, Philippe Herbette va se rendre à Metz, dans une salle de sport low cost, pour y être formé au métier de commercial par Ornela, 26 ans, qui occupe cette fonction depuis moins de deux ans dans ce club de sport. Son 2e jour de formation, à Besançon, se déroulera au coeur du métier de coach sportif avec Juan, 38 ans, passionné de bodybuilding.

À la rencontre des collaborateurs
La dernière immersion du PDG le mènera dans le Limousin avec Dominique, un technicien polyvalent de 48 ans qui va faire partager son quotidien à son stagiaire. Au programme : ménage, réparation du matériel sportif, et entretien des locaux. Cela va permettre à Philippe Herbette de se rendre compte de certains dysfonctionnements importants au sein de l’enseigne.

À travers quelques photos jaunies, des traces de l'histoire de la caserne sont exposées dans le hall. Sur la gauche, trône un portrait du créateur de la compagnie de Pompiers, l'entrepreneur Martineau. Sur la droite, une étagère avec quelques vieilles mini-voitures. C'est ici que les pompiers en service, au minimum neuf par jour, se retrouvent, à 7 h, tous les matins. « On vérifie que tout le monde est là, puis, les fonctions sont distribuées pour la matinée, détaille le capitaine Alban Favrais. On peut débriefer les interventions de la veille. » À partir du 27 janvier, ce rendez-vous quotidien aura lieu dans les nouveaux locaux des pompiers, au Poteau Vert.

Arrivés dans la caserne avenue de la Gare en 1978, les pompiers préparent leur déménagement, sans regrets. Derrière sa jolie façade, la caserne apparaît assez détériorée. « Quand on est venu ici avant notre élection on s'est vite rendu compte qu'il fallait lancer des travaux d'urgence, note François Besombes, président du syndicat mixte regroupant Concarneau, Trégunc et la communauté de commune du Pays fouesnantais. Il était important que des personnes se battant pour nous aient un lieu de vie convenable. »

Douches mixtes

Certains endroits de la caserne sentent le rafistolé. Les chambres, notamment, ont été construites par les pompiers eux-mêmes avec du matériel fournit par le Service départemental d'incendie et de secours du Finistère. Les douches sont mixtes, ne prenant pas en compte la présence de femmes, d'hommes ou de jeunes sapeurs pompiers (JSP), mineurs. En comparaison, ces jeunes auront dans la nouvelle caserne une aile leur étant réservé (voir notre édition Ouest-France du mercredi 2 décembre).

De même, la salle de réunion s'avère trop petite pour accueillir les 90 pompiers. Les plus importantes, longues d'1 h 30, ont lieu sur un terrain de sport, non isolé : « Certains vont chercher des couvertures par peur du froid. » La salle servant aux formations a été abandonnée. Malgré des réparations du SDIS, son état se dégradait trop fortement pour continuer à donner des cours.

Interventions plus faciles

Le capitaine n'est donc pas malheureux de quitter les lieux : « Nos nouveaux locaux (grand de 3 000 m2), vont nous permettre de gagner en qualité opérationnelle. » Principal problème du centre de secours, avenue de la Gare, son manque d'espace dans le hangar. Contrairement à la nouvelle caserne, les camions sont mis les uns derrière les autres si bien que pour sortir le camion « Ville-Close », il est nécessaire de sortir un 4x4 et un autre camion. Des manoeuvres ralentissant les interventions et augmentant la chance d'accidents dans le stress du départ.

Autant d'éléments justifiant pour François Besombes, l'investissement de 4 millions d'euros entrepris par les collectivités : « Le nouveau centre sera un argument de plus pour les volontaires, ou professionnels, de venir travailler à Concarneau, et d'y rester. » Un déménagement suivant une logique quasi historique pour Michel Guéguen, passionné d'histoire concarnoise. « À la fin des années 70, les pompiers étaient situés dans une ancienne conserverie située à côté de l'ancienne mairie, note-t-il. L'évolution du matériel et l'arrivée de nouveaux camions les avaient obligés à déménager. De même, le matériel qu'ils ont aujourd'hui n'a plus rien à voir avec celui de l'époque. »

Le 26 et le 27 janvier, les pompiers diront définitivement adieu au bâtiment qui fut, avant leur arrivée, une fabrique de boîtes métalliques. Reste une question : qu'adviendra-t-il des lieux ? Pour l'instant, aucune décision n'a été prise à ce propos.

 

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La randonnée hivernale fait rêver, traverser des paysages entièrement blancs, faire sa trace en raquettes dans la poudreuse, regarder la neige tomber depuis la fenêtre du refuge… Mais randonner en hiver demande un équipement spécifique, que ce soit pour une sortie à la journée ou un itinéraire de plusieurs jours. En premier, il faut penser à prendre des vêtements isolants pour se protéger du froid. Car même lors d’une simple balade, il est possible de se retrouver sous des conditions météorologiques difficiles. Le matériel doit lui aussi être préparé avec attention, surtout celui destiné au bivouac.

L’équipement varie bien entendu suivant la destination choisie, des températures qui seront rencontrées, des risques d’avalanche, de la durée de la randonnée… Vous souhaitez organiser votre première randonnée sous les flocons de l’hiver, voici un article qui vous aidera dans la préparation de votre équipement pour être sûr de ne rien oublier et d’avoir pensé à tout.

Comme pour la randonnée estivale, en hiver le système de couches est à privilégier pour se couvrir. Pour s’adapter au froid, elles sont généralement plus isolantes et à manches longues dès la première couche (voir l’article i-Trekkings : Vêtements de randonnée : Le système des trois couches). En hiver, il est plus difficile de maintenir une température corporelle constante, car dès que l’on fourni un peu moins d’efforts, le corps se refroidit très vite. La laine mérinos offre un excellent compromis chaleur thermorégulation tout en ne proliférant pas les odeurs.

Pour cela, la technique de l’oignon qui consiste à mettre et à enlever des petites couches isolantes suivant ses besoins permet d’y remédier. Il peut être intéressant d’opter non pas pour une seule couche isolante épaisse, mais pour deux couches plus fines, soit un système 4 couches et non 3 couches comme en été. Avoir en plus une doudoune en complément dans son sac à dos n’est pas négligeable. Compressible, elle prendra peu de place et saura vous garder au chaud durant les pauses. Son pouvoir isolant est incontestable. Pour les randonnées itinérantes avec des nuits en refuge non/peu chauffé ou sous tente, elle devient alors indispensable.

Pour le bas, il est important d’avoir un pantalon adapté à la neige, imperméable et isolant ou à défaut, de prévoir un surpantalon étanche et une paire de collants. Même si les prévisions météorologiques annoncent un grand ciel bleu le jour de votre randonnée, vous n’êtes pas à l’abri d’une glissade ou d’une bataille de boule de neige. Pour les pieds, il faut privilégier des chaussures chaudes et imperméables, tels des moon boots, qu’il est important de compiler avec des chaussettes épaisses. Si votre pantalon n’a pas de guêtres intégrées, il faudra en prévoir. Il n’y a rien de plus désagréable que d’avoir de la neige dans ses chaussures.

Il est également important de bien couvrir sa tête avec un bandeau oreille, un bonnet, un tour de cou et/ou une cagoule suivant le froid et le vent. Pour les mains, les moufles restent la meilleure protection mais ont une préhension moindre qu’une paire de gants, elles peuvent être aussi doublées avec des sous-gants fins pour permettre de manipuler son équipement (prendre une photo, ouvrir son sac…).

La randonnée hivernale nécessite du matériel spécifique. Compte-tenu des conditions météorologiques qui peuvent être délicates, il est important de bien préparer son équipement et de l’adapter à sa sortie. En premier, il ne faut pas oublier le risque d’avalanche. Pour toutes sorties exposées (en montagne hors station), il est impératif que chaque personne du groupe s’équipe d’un pack de sécurité comprenant un arva (appareil de recherche de victimes d'avalanche), d’une sonde et d’une pelle. Bien entendu, avoir cet équipement avec soi n’est pas suffisant, il faut absolument savoir s’en servir ! Un rappel sous forme de jeu avant le départ est des plus ludiques. Voici une check-list, non exhaustive, d’équipements indispensables, conseillés ou pour le confort/plaisir que nous vous proposons pour une randonnée en raquettes.

Pour les électriciens, plombiers, peintres ou les entreprises de BTP, trouver l’équipement idéal, aménagement en bois ou en acier, rangement intérieur, pose de galerie de toit, pupitre, protections latérales et les faire poser est aussi facile.

Mais il existe une autre voie : le kit tout prêt-à-monter soi-même. C’est celle que nous allons explorer ­aujourd’hui. Pour aménager un utilitaire, il y a trois solutions. Soit s’adresser directement au constructeur par ­l’intermédiaire de son concessionnaire.

Certains constructeurs allemands et français proposent des véhicules avec des aménagements propres à certaines professions. Soit contacter un prestataire spécialisé et bénéficier de l’installation complète des équipements. Soit opter pour un kit tout “prêt” que l’on monte soi-même.

Heureusement, on peut aménager son fourgon pour un prix très ­correct. Des sites de ventes sur Internet se sont spécialisés dans l’aménagement de fourgon et l’équipement de camions. Ces ­sites proposent des offres très ­inté­ressantes.

C’est donc le plus économique mais cela nécessite du temps?et?quelques?menues connaissances en bricolage. Mais les kits ont fait de tels progrès… Et ceux actuellement sur le marché peuvent satisfaire tous les goûts et répondre précisément aux besoins des différents corps de métier.

Ils conviennent particulièrement bien aux métiers du second œuvre du bâtiment. Chaque modèle de véhicule peut être équipé de manière complète et pratique, ce qui permet de gagner en productivité.

La plupart des aménagements intérieurs sont des solutions de rangement : étagères, tiroirs, casiers, caissons…ils peuvent être réalisés en deux matériaux : bois ou métal. Simples, pas chers et faciles à poser, les aménagements en bois permettent d’équiper les fourgons d’étagères, de tiroirs et autres compartiments. Le bois employé est le plus souvent du contreplaqué marin, léger et résistant aux projections d’eau. Parfois de l’aggloméré.

Cependant, ces meubles s’avèrent beaucoup moins résistants aux chocs que leurs homologues en métal et n’affichent pas les mêmes capacités d’absorption des chocs en cas d’accidents. Le mobilier métallique, généralement réalisé en acier, of­fre une finition plus léchée et surtout une meilleure résistance dans le temps et une plus grande sécurité pour les occupants en cas d’accident.

Il permet de nombreuses réa­lisations (étagères, tiroirs, placards, bacs de rangement...), mais est plus cher et plus lourd que le bois. Aménager un véhicule alourdit souvent le poids total. Proposer un aménagement plus léger évite les surcoûts d’entretien et de consommation de carburant, et peut donc se révéler déterminant pour le client. Certaines entreprises proposent alors des meubles en aluminium ou en acier inoxydable.

Les premiers sont presque deux fois plus légers, ce qui préserve la charge utile du véhicule. Mais aussi moins résistant. Les seconds résistent aux utilisations intensives et supportent très bien les désinfections répétées.

Les sites spécialisés proposent un choix immense de possibilités. Il est possible ainsi de monter soi-même, facilement, des revêtements intérieurs qui protègent le véhicule, font économiser les réparations de carrosserie pour les dommages causés par les matières transportées et facilitent le travail quotidien (plancher antidérapant, revêtement de parois, couvre-passages de roue) ; du mobilier et des accessoires spécifiques (établis, plans de travail, étaux, portes-câbles, portes-bidons, enrouleurs, crochets multi-usages, dérouleurs de papier) ; des arrêts de charge ou des parois de séparation pour sécuriser la cabine du conducteur en cas de choc ; des systèmes d’arrimage (rails, sangles, accroches outils) ; des rampes de chargement, des planchers extractibles et des marchepieds ; des planchers double niveaux qui permettent de créer un espace de rangement tout en laissant de l’espace libre ; des grues de manutention pour faciliter la levée de pièces lourdes.

Sachant que la pose sera assurée par le propriétaire du véhicule, le budget variera en fonction de plusieurs autres éléments. D’abord le matériau, bois ou métal. Ensuite les éléments, nombreux ou pas, sur mesure ou non.

Et enfin, le véhicule à équiper : plus il est important, plus l’aménagement sera cher. Il faudra compter environ 500 € HT pour le kit d’un caisson de rangement en métal à installer soi-même et au moins 600 € HT pour un kit complet en bois (plancher, étagère, arrêt de charge).

Pour une entreprise, un utilitaire c'est une vitrine. Son image passe aussi par un véhicule bien équipé et bien rangé qui démontre, auprès des clients, son sérieux et son efficacité. Surtout si on réfléchit au temps perdu à la recherche d'un outil ou à l'oubli à l'atelier de la boîte de vis absolument indispensable. Un utilitaire bien rangé, c’est un gain d’efficacité et de temps. 30 minutes gagnées chaque jour rapportent à l’entreprise plus de 2500 € par an.

 

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La société appaméenne vient d'être désignée pour la gestion des futures 40 bornes de recharge électrique automobile dans le département. Une aubaine pour cette entreprise en pleine transition.

Brice Ronceray est un homme branché. Et pour cause ! BV Scop, la société qu'il dirige, vient de se voir attribuer l'installation et la maintenance des futures 40 bornes de recharge électrique automobile installées dans le département à l'horizon 2016-2017. Une opportunité inespérée, obtenue grâce à Bouygues Énergies et Services, vainqueur de l'appel d'offres régional lancé par un groupement de plusieurs syndicats départementaux d'énergie. Révélée à la mi-décembre lors de la dernière assemblée générale du syndicat ariégeois, l'information est vite remontée aux oreilles de la petite entreprise de la zone du Pic. «Il fallait répondre présent pour ce premier marché d'importance en Ariège, estime le dirigeant de la Scop satisfait de signer un contrat estimé à près de 200 000 €. J'espère que cet accord en appellera d'autres.»

Habituée à travailler sur les réseaux de distribution publique d'électricité, la PME de 45 salariés poursuit année après année sa transition. Après s'être ouvert aux activités industrielles en lien avec son secteur d'activité, BV Scop s'ouvre une nouvelle fois les portes du développement durable. Un choix assumé depuis le début des années 2000 et qui a permis aux prédécesseurs de Brice Ronceray de s'implanter sur différents chantiers en Ariège, mais aussi dans d'autres départements de la défunte région Midi-Pyrénées et ailleurs dans l'Hexagone. «40 % de notre activité globale repose sur la notion de développement durable. Nos équipes s'occupent des raccordements sur les sites éoliens ou effectuent aussi l'installation de panneaux photovoltaïques au sol». Avec le dossier des bornes de recharge automobile, l'entreprise s'ouvre à un nouveau monde et peut s'appuyer sur son expérience en la matière auprès de ses clients. «Nous nous sommes occupés de quelques postes réservés à nos clients, précise Brice Ronceray. C'est le cas pour le SDE09 où nous avons déjà installé un équipement de ce type.»

Nouvelles ambitions dans l'économie de ressources

Conscients de l'ampleur d'un tel accord, les responsables de la société créée en 1962 ne veulent pas se reposer sur leurs lauriers. Si une réorganisation sera opérée en interne pour se charger de la maintenance de ces nouveaux équipements, BV Scop souhaite gagner en expérience et acquérir de solides références. «L'entreprise doit désormais devenir un acteur incontournable en matière d'économie de ressources. La signature de ce contrat va nous valoriser et permettre de montrer toute l'étendue de notre savoir-faire.»

Popularisé par les Hippies californiens dans les années 60 le célèbre Combi fait un retour remarqué au CES sous la forme d’un concept car de véhicule électrique connecté. Il préfigurerait la mobilité électrique que Volkswagen entend proposer à ses clients avant la fin de la décennie : 600 km d’autonomie et une recharge à 80 % de la batterie en 15 minutes, avec en prime une forte connectivité. Retour sur 70 ans d'histoire.

Toujours empêtré dans son scandale de tricherie sur les émissions polluantes de ses moteurs diesel, le groupe Volkswagen profite tout de même du salon de l’électronique grand public CES 2016 qui se tient en ce moment à Las Vegas, pour dévoiler un concept car reprenant les lignes de son célèbre Combi qui fut commercialisé sous de multiples versions de 1948 à 2014.

Au sortir de la seconde guerre mondiale, l’industrie allemande est exsangue et nombre de ses usines ont été détruites dans les bombardements stratégiques massifs intervenus depuis 1940. 1,6 million de tonnes de bombes ont été larguées en grande partie sur les complexes industriels.

Le complexe Volkswagen de Wolfsburg, orgueil du régime nazi, qui devait fabriquer la ‘‘voiture du peuple’’ (KdF-Wagen), mais qui en fait travaillait essentiellement à la fabrication de véhicules militaires (Kubelwagen, la Jeep allemande, et Schwimwagen, sa version amphibie) est quasiment détruit. Pourtant dès la capitulation, le Major Ivan Hirst va récupérer les machines-outils mises à l’abri et relancer quasiment à ciel ouvert la production de la KdF-Wagen pour les besoins de l’armée britannique, puis des administrations allemandes.

Dans une Allemagne dépourvue de tout, la Coccinelle rencontre un succès inespéré : en 1947 1 000 voitures sont fabriquées chaque mois. Mais malgré de nombreuses adaptations, elle ne répond pas aux besoins des artisans et des livreurs. Aussi dès 1947 naît l’idée de réaliser un véritable véhicule utilitaire. Le cahier des charges est simple. La forme doit être celle d’une boîte sur roues capable de transporter 750 kg tout en réutilisant le groupe motopropulseur refroidit par air de la Coccinelle placé à l’arrière. Un premier prototype, le Plattenwagen, constitué d’un plateau placé devant une cabine sommaire, voit vite le jour, mais il restera à usage interne. Il sera toutefois fabriqué jusque dans les années 70 à plusieurs centaines d’exemplaires.

Une boîte sur roues

Finalement c’est l’importateur néerlandais des Coccinelles, Ben Pon, qui présentera un projet de camionnette au Major Ivan Hirst en avril 1947. Le bureau d’études, sous la houlette d’Alfred Haesner, se met au travail sur le projet VW29. Un premier prototype roulant sort le 11 mars 1949. C’est une caisse autoporteuse à moteur arrière avec un nez plat et Heinz Nordoff, le nouveau directeur de Volkswagen maintenant sous la responsabilité des autorités allemandes, envisage déjà de multiples déclinaisons. Ce sera un Kombinationenwagen ou véhicule multi-usages, bien vite surnommé Kombi.

Notons que le prototype a bénéficié des études du département mécanique des fluides de l’Université de Brunswick et a été doté d’une face avant arrondie qui lui donne un Cx de 0,44, valeur remarquable pour un utilitaire de l’époque, et cette ‘‘bouille unique’’ qui participera à son succès. Le Kombi a bien besoin d’aérodynamisme car le moteur, celui de la Coccinelle, ne développe que 25 ch ! Il offre une surface de chargement de 4 m² avec une porte d’accès latérale à doubles vantaux, puis plus tard un hayon arrière pour la plate-forme située au-dessus du moteur. La charge utile est de 850 kg pour un poids mort de 875 kg. À pleine charge, il atteint 75 km/h pour une consommation de 9 l/100 km.

La production en petite série débute en février 1950. De multiples versions du Kombi vont être développées par l’usine (fourgon, mini-bus, ambulance, pick-up, pick-up double cabine, plateau, camping-car…) et de nombreux carrossiers feront des adaptations. Le succès est au rendez-vous, plus de 1,83 million de Kombi seront fabriqués jusqu’à fin 1967, date de l’apparition de la 2e génération, qui sera fabriquée à 2,46 millions d’exemplaires. Elle sera suivie par une 3e en 1980 et une 4e, à traction avant cette fois, en 1992, qui sera fabriquée jusqu’en fin 2013 au Brésil. Mais entre-temps le Kombi a cédé la place au Transporter.

Une version électrique du Kombi sera même développée en 1972 en collaboration avec Varta et Siemens, l’Electrocar, avec une batterie au plomb de 860 kg d’une puissance de 33 kW. Outre la charge sur le secteur, l’échange de batteries est aussi proposé, mais ce véhicule en avance sur son temps, ne connaitra qu’un succès anecdotique (200 exemplaires), car l’autonomie ne dépasse pas 85 km !.

Le nième retour de l’électrique

L’électrique qui est encore au cœur du concept car annoncé cette semaine au Consumer Electronic Show (CES 2016), mais ce n’est pas une nouveauté. Il faut dire que Volkswagen à l’habitude de présenter des concept-cars sur base Kombi. Le premier, Microbus, a été développé par son studio de design californien en mars 2001 inspiré par la New Beetle. Il disposant déjà de nombreux écrans et d’un équipement multimédia haut de gamme. En 2011, ce sera Bulli présenté au Salon de Genève, dont une version est prévue pour une motorisation électrique avec des batteries Lithium-ion lui donnant une autonomie de 300 km. Mais aucun n’a débouché sur un nouveau véhicule.

Après avoir redonné ses lettres de noblesse à la science-fiction sous forme de FPS avec Halo, les développeurs de Bungie ont continué leur exploration des confins de l’espace avec Destiny. Ici encore, le futur de l’humanité est menacé par diverses races extra-terrestres, un terreau qui s’est déjà montré fertile avec Halo, et surtout dont les limites semblent difficilement atteignables. Vous incarnez donc l’un des nombreux gardiens, garants de la paix sur Terre mais aussi émissaires envoyés sur nombre d’autres planètes.

Destiny offre un univers riche aux multiples activités, que ce soit contre l’intelligence artificielle ou lors d’affrontements contre d’autres joueurs. L’intérêt du titre repose principalement sur la quête des meilleures statistiques possibles. Une fois les missions principales terminées, le joueur n’aura de cesse d’enchaîner assauts et autres raids en espérant découvrir de nouvelles pièces d’équipement pour faire augmenter son niveau de lumière.

En incluant trois classes, chacune dotée de trois disciplines elles-mêmes personnalisables à l’envi, la dimension jeu de rôle du titre est belle et bien présente, et finit même par déteindre sur les rixes entre joueurs. Les capacités spéciales des avatars se rechargent avec le temps, pas question donc ici d’espérer trouver des grenades sur la carte. Parmi ces aptitudes, un coup spécial dévastateur, plus long à charger, permet de retourner des situations désespérées à son avantage.

 

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Après avoir confirmé son nom, sa date de lancement et avoir dévoilé son design, Xiaomi revient une nouvelle fois sur le futur Redmi 3 en annonçant cette fois-ci la capacité de sa batterie.

Le Redmi 3 de Xiaomi n’est pas encore annoncé officiellement qu’il n’a déjà plus beaucoup de secrets à cacher. Après un rapide passage à la TENAA, l’organisme officiel de certification chinois, qui a dévoilé un certain nombre de ses caractéristiques, et la confirmation hier de son lancement à venir par la marque, il est déjà assez facile de peindre un portrait du smartphone. Souhaitant apparemment ne laisser aucune place au mystère, Xiaomi continue la promotion de son futur téléphone avec une nouvelle image qui révèle cette fois-ci la capacité de sa batterie.

Même ceux qui ne lisent pas couramment le mandarin peuvent le lire sur l’affiche ci-dessus, postée ce matin sur Weibo, le Redmi 3 embarquera une batterie de 4100 mAh. La firme affirme en outre utiliser une nouvelle technologie permettant de presque doubler la densité d’énergie contenue dans un même volume, et donc en conservant une certaine finesse de l’appareil (8,5 mm annoncés).

Les précédentes rumeurs évoquaient déjà une batterie « supérieure à 4000 mAh », ce qui est désormais confirmé. En ce qui concerne le reste de la fiche technique du Redmi 3, il faut s’attendre à un processeur octa-core cadencé à 1,5 GHz, un écran HD 720p de 5 pouces, 2 Go de RAM, 16 Go de stockage interne et des appareils photo de 5 et 13 mégapixels.

Ceux qui se poseraient encore des questions au sujet de ce smartphone obtiendront toutes les réponses qu’ils attendent le 12 janvier prochain.

Une flotte de scooters électriques et des chargeurs de batterie permutables : telle est l'idée de la start-up taïwanaise Gogoro, qui tourne désormais les yeux vers la vieille Europe.

Une flotte de scooters électriques et des chargeurs de batterie permutables : telle est l'idée de la start-up taïwanaise Gogoro, qui tourne désormais les yeux vers la vieille Europe.

On avait découvert son petit scooter électrique l'an dernier : fondée par des anciens de HTC et Microsoft, Gogoro a conçu un petit appareil tout en courbes, bardé de fonctions connectées : géolocalisation, distance parcourue, état de charge de la batterie ou alerte en cas de vol, toutes ces informations sont accessibles directement sur l'écran du smartphone. Une fois au guidon, le Gogoro promet environ 80 Km d'autonomie à 50 Km/h (et non 50 Km à 80 Km/h comme nous le disons dans la vidéo). Il se recharge enfin très simplement, grâce à deux batteries amovibles rangées sous la selle. Il suffit en effet de localiser une station de recharge et d'y échanger ses accus vides contre des batteries chargées.

Gogoro a pensé en premier lieu son scooter pour les grandes métropoles asiatiques, où la très importante population de deux roues motorisés participe activement à la pollution de l'air. Elle a ouvert son premier magasin sur ses terres, à Taipei (Taïwan) et y distribue depuis l'été ses scooters. Environ 4000 d'entre eux auraient déjà trouvé preneur, en dépit d'un prix d'achat relativement élevé (3500 euros).

Du fait de sa proximité avec la municipalité, Gogoro a réussi à faire installer à Taipei quelque 125 stations de recharge, qui permettent de mettre en oeuvre son modèle. Problème : pour se développer plus avant, il faut parvenir à nouer des accords similaires avec d'autres grandes villes, lesquelles conduisent déjà bien souvent des travaux autour de la mobilité partagée. En attendant d'arriver à convaincre Amsterdam, rencontrée récemment, il faut donc trouver une autre façon de disséminer des chargeurs.

La start-up a donc eu l'idée de créer une station de recharge de taille réduite (limitée à deux batteries, le GoCharger), pensée non pas pour les espaces publics, mais pour des lieux relevant du privé : commerces, restaurants ou autres, qui se verraient proposer une contrepartie financière pour l'emplacement et l'électricité consommés. Gogoro espère ainsi parvenir à étendre son réseau plus rapidement.

Si vous demandez à quelqu’un de citer deux défauts des smartphones de la marque à la Pomme, il y a de grandes chances pour qu’on vous parle de la batterie et du stockage de l’appareil. Mais cela pourrait bien changer puisque les dernières rumeurs font état d’une amélioration de ces deux points pour la prochaine itération des téléphones Apple.

Selon ces rumeurs provenant d’un site chinois (et ensuite largement reprises par la presse spécialisée anglophone) le prochain iPhone proposerait une version dotée de 256 Go de stockage. Cependant, cette nouveauté pourrait avoir un impact limité dans la mesure ou la version 16 Go serait maintenue et ne changerait pas de prix. Le véritable problème avec le stockage sur le iPhone ne vient pas du fait que de grosses capacités ne soient pas disponibles, mais que ces dernières soient hors de prix pour le commun des mortels.

Cependant, pour ce qui est de la batterie c’est une vraie bonne nouvelle. En effet les sources en question parlent d’une capacité de 3100 mAh, soit ce que proposent les concurrents de Apple aujourd’hui sur leur haut de gamme. On peut aussi supposer que cela concerne une version “plus” de l’iPhone. Pour rappel, l’iPhone 6s Plus dispose aujourd’hui d’une batterie de 2750 mAh, cela représenterait une augmentation de 350 mAh, ce qui reste de l’ordre du plausible.

Toutefois, ces rumeurs ne vont pas tout à fait dans le sens de celles faisant état d’une prise Jack manquante sur l’iPhone 7 dans l’idée de diminuer son épaisseur. On voit mal comment Apple pourrait rendre ses iPhone plus fins avec une plus grosse batterie. La réponse au mois de septembre.

C'est assez difficile à croire, ça semble trop beau pour être vrai, mais l'accessoiriste PDP a en effet présenté cette nouvelle technologie à un journaliste de Polygon, qui s'en fait l'écho en dévoilant également une photo du prototype (ci-dessus la version Xbox One, mais une version PS4 est également prévue).

En tout cas le chef produit Christopher Dingle l'affirme haut et fort : il ne faudra pas plus de 60 secondes pour charger intégralement cette batterie, qui permettra ensuite de jouer 8 heures d'affilée. Mais comment ?

Le responsable de PDP n'a pas donné plus de détails, ni fait la démonstration qu'on serait tous curieux de constater, mais assure qu'un prototype fonctionnel existe déjà... bien qu'il ne l'ait pas présenté au journaliste de Polygon. Peur de divulguer un secret sans doute ?

On surveillera ça de près en tout cas... mais sachez que ce n'est pas pour tout de suite : PDP prévoit de lancer les pré-commandes à la fin de l'année 2016, pour un prix total (batterie + base de charge) fixé à 99$.

À noter que PDP prévoit évidemment d'étendre sa technologie révolutionnaire au monde des smartphones, tablettes et autres ordinateurs portables, et que dans ce domaine de nombreux autres constructeurs annoncent des résultats similaires depuis quelques mois (lire par exemple Des batteries rechargeables en 1 minute pour l'année prochaine).

 

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Christian Masquelier, professeur à l’université de Picardie Jules Verne, revient sur le tour de force annoncé en fin d’année dernière par le réseau de recherche français R2SE et le CEA : la fabrication de la première batterie électrique sodium-ion au format standard 18650 : un cylindre de 1,8 cm de diamètre sur 6,5 cm de hauteur. Une étape clé dans la course engagée par les chercheurs du monde entier pour développer un concurrent au lithium-ion pour les applications stationnaires.

L'Usine Nouvelle : Quelle est cette technologie sodium-ion sur laquelle vous travaillez ?
Christian Masquelier : Il s’agit d’une alternative au lithium-ion qui s’en inspire directement. Comme dans les batteries Li-ion, il y a deux électrodes et un électrolyte organique. Mais ce sont des ions sodium qui circulent entre les électrodes au lieu d’ions lithium. Les matériaux sont aussi très différents. Il y a peu d’entreprises qui s’y intéressent, mais c’est un domaine qui mobilise de plus en plus de chercheurs académiques dans le monde, notamment au Japon, aux Etats-Unis et en Espagne.

Quelles sont les performances de votre technologie et en quoi peut-elle concurrencer le lithium-ion ?
Notre batterie affiche une densité d’énergie – la quantité d’électricité qu’on peut stocker par kg de batterie – de 90 Wh/kg. Elle peut être chargée et déchargée rapidement (une heure) et sa durée de vie – au bout de laquelle sa capacité n’est plus que de 80% de sa capacité initiale – dépasse 2000 cycles de charge-décharge. C’est donc une batterie opérationnelle. Sa densité d’énergie pourra encore progresser, à peut-être 130-140 Wh/kg, mais elle restera en deçà des meilleures batteries Li-ion, qui atteignent 200 Wh/kg. En revanche, ses matériaux devraient coûter bien moins cher que ceux du Li-ion et elle devrait concurrencer cette technologie sur les applications pour lesquelles la densité d’énergie n’est pas prioritaire, comme le stockage stationnaire d’énergie.

Pourquoi avoir réalisé un prototype au format 18650 ?
C’est la première fois qu’est fabriquée une batterie sodium-ion au format 18650 – un cylindre de 1,8 cm de diamètre sur 6,5 cm de hauteur. C’est important car c’est un standard très répandu, qui équipe nos ordinateurs portables - et les voitures Tesla. Quand on affiche des performances dans ce format, ça parle. Cela veut aussi dire que la technologie ne se cantonne pas au laboratoire. Sur une cellule de cette taille, il faut des quantités importantes de matière, des films de grande longueur. C’est le stade pré-industriel. Ce n’est pas à portée de tout le monde.

Qui est derrière cette première ?
Ce sont des chercheurs académiques du CNRS et du CEA. Ce qui est remarquable, c’est que nous sommes allés très vite – moins de deux ans – pour parvenir à ce stade pré-industriel. Cela démontre la puissance de l’alliance du CEA et du CNRS ainsi que de notre démarche en « task-force », sans industriel : une dizaine de personnes issues de cinq ou six labos, qui ont bénéficié des lignes de production pilotes du CEA. Cette rapidité et cette diversité n’auraient pas été possibles en travaillant directement avec un industriel soucieux de sa propriété industrielle.

L’étape d’après, c’est l’industrialisation…
Là, il faudra des industriels ! Parmi la quinzaine d’industriels qui sont dans notre réseau RS2E, dont Saft, Renault, Total, Solvay, etc…, il y en a de très intéressés. Nous pourrons leur licencier les technologies que nous avons brevetées. Il faudra bien sûr qu’il y ait un marché, mais les choses pourraient aller vite. Comme nous l’avons montré avec notre prototype réalisé sur les lignes pilotes du CEA, notre technologie sodium-ion peut être transposée sur des lignes de production conçues pour le lithium-ion. C’est un avantage crucial.

L'une des tendances du CES de Las Vegas est définitivement le tout connecté. Une bonne partie de l'un des halls principaux était d'ailleurs réservée à ce genre de produits, tout le monde cherchant à nous proposer « a smarter home » pour reprendre le terme utilisé sur au moins 80 % des stands. Pour autant, rares étaient les sociétés à réellement se distinguer.

Parmi elles, on trouvait quelques acteurs estampillés FrenchTech, dont Nodon. La société propose de nombreuses solutions domotiques, basées sur la technologie EnOcean ou le standard Z-wave. Le CES était pour elle l'occasion de voir primé l'un de ses produits présentés l'année dernière : le Eye. Il s'agit d'un détecteur de fumée qui se veut plus rapide sur la détection et moins sujet aux fausses alarmes du fait de l'utilisation d'une technologie développée par la société.

Zigbee sans batterie et Bluetooth Mesh

Mais l'on a aussi pu noter trois nouveautés intéressantes. La première concerne le support d'une version de Zigbee qui fonctionne sans batterie, à la manière d'EnOcean et son « energy harvesting ». Cela fait suite à l'annonce d'un partenariat entre les deux sociétés il y a un peu plus de trois semaines.

La seconde concerne l'arrivée d'une solution basée sur le Bluetooth avec une typologie mesh en exploitant une solution de Silvair, de quoi assurer une portée importante à un ensemble de produits installés dans une maison. Ce système est l'occasion d'un partenariat avec un autre fabricant français : Girard Sudron qui propose une ampoule LED connectée pouvant être utilisé avec la solution de Nodon.

Le dernier produit évoqué sur le salon est le Niu. Il n'est pas totalement nouveau puisque la marque l'avait déjà évoquée à plusieurs reprises, mais l'on apprend que ce bouton connecté sera proposé au moins d'avril pour un peu moins de 30 euros.

Pour rappel, il s'agit d'un produit aimanté, waterproof pouvant être utilisé avec des services via IFTTT pour automatiser des actions sur un simple clic, un double-clic ou une pression longue. Il peut être contrôlé par une application permettant elle-même certaines actions comme le fait de recevoir un faux appel pour couper court à une conversation, prendre une photo, une vidéo, lancer l'enregistrement d'une note vocale, etc.

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